DOMESTIQUE
Dans le fantasme de la fessée et de tous ses dérivés, il y a plusieurs façons de jouer et Le jeu de rôle prend une bonne place.
Dans le fantasme de la fessée et de tous ses dérivés, il y a plusieurs façons de jouer et Le jeu de rôle prend une bonne place.
Mais le jeu de rôle ce n’est pas simplement de se dire « moi
je suis Zorro et toi le Sergent Garcia », on peut bien entendu l’entendre
comme ça, cependant, pour beaucoup, le jeu de rôle tournant autour de la fessée
ou d’autres châtiments corporels, est un univers très complet.
Il est évident que les protagonistes auront en premier le
cœur à jouer de manière la plus crédible possible et pour créer une atmosphère
et un décor se prêtant le mieux à l’acte, il y a les costumes.
Ça peut faire rire, mais pourtant la tenue vestimentaire
est un formidable vecteur du jeu de rôle et du plaisir d’y être plongé.
Prenons quelques exemples :
Un jeu de rôle assez courant est celui de la femme de
ménage, de la cuisinière ou de la bonniche suivant l’appellation que chacune et
chacun lui prêtera.
Un joli petit costume peut donner au jeu un certain
réalisme, une simple apparence, certes, mais qui enivre et donne une belle
couleur au jeu avant de l’imprimer sur les rondeurs fessières de la fautive.
Si le maître de maison sait tenir son rang et, comme dans
le dessin, met en évidence l’instrument de correction, on imagine l’excitant frissonnement
provoqué par la crainte et le désir.
Il est bien évident que ce n’est pas forcement le mâle
qui joue le maître de maison, l’inverse est également de mise.
Il n’y a aucune obligation réglementaire de tenue, on
peut aussi aimer le simple tablier sans autres artifices. Chacune et chacun
choisira selon l’envie du moment et cela permet aussi de ne pas tomber dans la
routine. Le tout est de trouver la bonne improvisation, car il ne s’agit pas
non plus d’apprendre un script par cœur.
Il faut une certaine crédibilité en ce qui concerne les
sanctions, mais ça, si les partenaires sont bien dans le jeu, il n’y aura
aucune difficulté à trouver une justification à la punition. Personne ne doute
que le consentement engendre la provocation.
SCOLAIRE
Un grand classique du jeu de rôle. Relativement facile en
ce qui concerne le décor, une pièce, un bureau, une ou deux petites tables, des
chaises, éventuellement un tableau noir (facultatif), une carte ou une
représentation historique sur le mur et voilà une salle de cours très
acceptable.
Pour ce qui est du costume, le choix est large et il n’est
point d’obligation de se ruiner dans des boutiques spécialisées.
Pour les femmes, la jupe plissée très courte et les
longues socquettes sont déjà assez explicites et la culotte genre petit bateau
ajoutera la touche coquine.
La ou le professeur n’ont d’autres souhaits que d’être
vêtus de manière stricte pour imposer l’autorité.
La fessée déculottée en classe est bien un châtiment
approprié, mais il en est d’autres qui agrémente parfaitement le jeu scolaire,
comme le coin, la mise à genoux main sur la tête, les lignes etc.
La main, certes est l’outil punitif de base, mais les
profs ont également la redoutable règle plate facile.
Pour les hommes élèves ou étudiants, la culotte courte me
parait de bon ton et éventuellement la blouse. D’accord, je n’ai pas encore
fait le dessin mais ça viendra, je compléterai cette rubrique de temps en
temps.
MÉDICAL
C’est un bon jeu de rôle que la visite médicale assortie
bien sûr de bonnes fessées à la discrétion de la ou du médecin.
Pas besoin de costume particulier pour la ou le convoqué,
juste d’avoir des sous vêtement et pour les puristes, ceux de coton blanc.
Ce peu sur le corps fait naitre une terrible sensation de
vulnérabilité devant une doctoresse ou un docteur.
Il est certain qu’il sera très facile au médecin de les
ou les faire retirer pour une auscultation plus approfondie. C’est
l’improvisation des protagonistes qui commandera.
J’oubliais, pour celle ou celui qui joue le docteur, une blouse
blanche est du meilleur effet ainsi que quelques accessoires médicaux qui peuvent
par leur utilisation créer une certaine gêne voir de la honte.