Quelle exclamation, quelle exaspération, quelle révolte,
auraient, en regardant cette série de photographies,
certaines ou certains d’entre
les humains ? J’entends, toute jeunette qu’elle est, qu’elle n’est plus en
âge d’être punie de la sorte, sans doute en raison, qu’il convient que la
fessée soit réservée aux fessiers des enfants, comme une convenance, celle du
droit de châtier physiquement les plus vulnérables. Mais, je me dois, à ces
culs bénis par une chasse d’eau mal réglée, à celles et ceux qui râlent en oral
la morale, du moins celle qui couvre d’un voile immaculé, le noir qu’ils
dissimulent, quelques lignes.
Témoin de la fessée, je le fus, ainsi que du pourquoi, et,
pourtant humainement sensible, je ne suis point intervenu en faveur de la belle
adulte afin de lui éviter cette dégradante sentence, d’autant plus, qu’elle fut
administrée devant témoins. Lâcheté ? Point du tout ! Excitation ?
J’avoue que j’en étais titillé et croyez qu’elle m’était agréable.
Cependant,
une irritation érectile ne pourrait justifier à elle seule, de claquer un cul,
si avenant soit-il. Il est évident, que si l’injustice était de mise ce jour-là,
à la barre, j’aurais témoigné en faveur de l’accusée.
Qu’entends-je au fond ? Que la fessée déculottée est
une punition avilissante ! Certes, j’en conviens, elle l’est. Ajoutez, mesdames
et Messieurs les bien-pensants, qu’en plus de l’humiliation, la fessée fait
mal. Remarquez, en passant, ou repassant, que c’est justement dans le cahier
des charges de la fessée.
Donc, preuve photographique à l’appui, la victime subit un
châtiment dégradant et douloureux devant témoins. De toute évidence, les
protagonistes mériteraient de se retrouver au pénal. Mais pour causer à monsieur
le juge, faut-il que soit déposée une plainte de la victime, et, suite à ce
cuisant épisode, il n’y eut point de procès-verbal et si, main courante il y
eut, l’unique fut celle du bourreau sur la croupe de la suppliciée.
Aurait-elle eu peur des représailles ? Pas le moins du
monde et la raison est très simple. Je me doute que je vais encore choquer les
quelques qui, les mains jointes, regardent vers le plafond, sans doute de peur
que le ciel ne leur tombe sur la tête. Alors voilà, en premier, la jeunette
avait mérité une sanction. D’accord, elle aurait pu être privée de dessert, de
télé, ou simplement engueulé, mais grande aurait été sa frustration. Pourquoi ?
Mais tout simplement parce que pour la belle, ne pas être punie par la fessée aurait
été la pire des tortures.
Comprenez-vous, que l’humiliation d’être fessée cul nu
devant témoin et ses fesses offertes aux torrides claques, lui procure du
plaisir et parfois, la jouissance.
D’ailleurs, si vous pensiez le contraire,
vous ne seriez pas entrés sur ce blog.