Comme chacun le sait par expérience, les fesses sont la partie du corps la plus pratique pour s'asseoir. Idéalement placées, plus ou moins charnues selon le confort désiré et en général d'une surface sécurisante pour l'équilibre posé du buste sauf si par abus on roule sous la table, mais dans ce cas la direction se dégage de toutes responsabilité.
N'imaginez point autre chose dans mes propos, autres que les deux belles rondeurs de la croupe d'une ou d'un être humain selon les goûts artistiques personnels de chacun. Le reste de l'endroit, je veux dire ce qui représente une étude plus approfondie, n'est pas le sujet de ce post.
Voilà ; donc on s’assoit sur ses fesses, son popotin, ses doublures, son cul, son séant, son joufflu etc.
Cependant, les deux galbes frères attirent d'autres convoitises. ne me demandez pas, qui la ou le premier a eut l'idée d'y envoyer sa main avec une certaine rigueur afin d'en sortir un bref son musical accompagné par le chant primaire de la ou du propriétaire. Chant qui d’ailleurs n'excelle pas d'un riche vocabulaire car il se limite généralement à "Aille ou Ouille" avec certes quelques variantes, mais insuffisantes pour composer une symphonie originale en dix actes.
L'aspect tribale de la musique produite n'est pas sans charme, tout dépend des variations, de la tonalité et des trémolo (trémoli, peut-être ?) de la ou du personnage claqué.
On peut faire un rapprochement entre le fruit qui à besoin de chaleur et soleil pour rougir et les fesses. La main serait donc le soleil des culs et il est aisé de croire qu'il y a un culte adorateur de fesses bien mûres. Ce mot, je suis presque certain que l'origine est bien "cul"
Il y a aussi les adeptes d'un mûrissement par instruments interposés. Toutes les techniques sont bonnes si toutefois le jardinier a l'expérience requise. Point de diplôme, juste l'amour du travail bien fait.
S'il est agréable d'admirer un popotin bien rose, il est plus excitant d'en teindre le velouté en rouge dominant donnant à l'ensemble un tableau bien plus bandant que la Joconde, sans pour cela ignorer le génie de Léonard, mais à mon avis, il aurait mieux fait de la peindre côté verso soulevant jupe et jupons exposant son fessier récemment claqué par l'artiste. D'accord, elle ne trônerait peut-être pas au Louvre, mais la toile aurait certainement fait honneur au hall du Moulin Rouge ; qui pour le coup ne se serait sans doute pas nommé "Moulin".
N'empêche, s'il faut parler franc, que le claquage de postérieur est un usage courant chez nombre de couples qu'ils soient réguliers ou pas.
Et vous ?
J'adore la première photo avec le martinet sur les fesses nues j'aime beaucoup le martinet est histoire de martinets
RépondreSupprimerJ'ai oublié de bonnes fessée au batteur a tapis et orties fraîche cela serait bien sympathique de voir cela est sans oublié les fessées avec le chassonc
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