Madame et son cobaye (acte 1)
Il y a peu, disons quelques années, j’étais inscrit sur
O.J. Un site où on parlait entre gens du même fantasme de fessée et tout ce qui
tournait autour, je conversais derrière mon écran avec un certain nombre de
personnes. Parfois opposés, parfois d’accords et souvent complices de délires
écrits et dessinés.
Hélas cet excellent site un jour a fermé ses portes nous
laissant pour un moment toutes et tous orphelins. Peu avant l’extinction des
feux, une dame m’avait fait part de son désir de passer de l’autre côté du
manche et me demandait gentiment si j’acceptais d’être son cobaye.
Idée peu banale, mais j’ai toujours été attiré par ce qui
sortait de l’ordinaire et cette éventualité me séduisait. Un rôle pour moi,
j’étais comme un acteur à qui on offre une place dans les studios d’Hollywood.
J’acceptais avec enthousiasme d’être un temps d’apprentissage le sujet de cette
dame.
Je n’avais aucune crainte car la formation de la femme
était chapeautée par un homme de grande expérience et donc, roulant sur les
routes me menant au bout de la France, j’étais serein.
C’est toujours un grand moment de découvrir des personnes
dont on ne sait rien de plus que leurs pseudos et leurs écritures. Je ne fus
pas surpris de leur physique, ils n’étaient pas vraiment différents de ce que
j’imaginais. Reste que c’est un moment magique d’écouter pour la première fois
les timbres de voix, d’embrasser ou de serrer la main d’êtres qui n’étaient
jusqu’à ce moment que numériques.
Un accueil chaleureux et une prise en main rapide, la
dame était avide d’ouvrir une nouvelle porte et moi de me mettre à son service.
J’ai toujours été exigeant sur la crédibilité de mes
partenaires, mais cette fois, je me devais d’être avant tout un bon sujet parce
que ce n’était pas un jeu scolaire, ni dit de discipline domestique, ni de
rapports engendrant l’infantilisation. Je devais oublier mes habitudes et être
un nouveau Mike.
La bonne surprise, c’est que si je ne doutais pas de
l’autorité de l’homme, la dame avait également les dispositions pour prendre
l’ascendant sur moi quand cela était nécessaire et de me driver, est une
condition incontournable.
Il y avait un bon moment que je n’avais pas senti
l’impact d’une main de femme sur mes fesses et croyez que j’étais aux anges. Je
découvrais avec délice qu’être un cobaye procurait un plaisir particulier.
C’était bien différent de ce que j’avais joué jusqu’à présent.
La dame prenait toujours un prétexte pour me punir, ce
qui est essentiel. Je sentais dans son regard l’envie de dominer et de
sanctionner ; c’était non seulement excitant mais également le terreau
fertile d’une belle plante fesseuse qui allait vite pousser.
Déroutant d’être un cobaye, mais à la fois enivrant que
d’être courbé en travers de ses cuisses déculotté par ses soins et recevant une
bonne série de claques. Le maître d’apprentissage n’était pas avare de
recommandations, il veillait a ce qu’elle me maintienne fermement pour que je
ne puisse esquiver ou m’échapper. Si la main féminine ne se plaquait pas sur
mon épiderme dans les règles de l’art ou qu’elle ne claquait pas de manière
satisfaisante, je changeais de genoux pour une démonstration avant de retrouver
le confort féminin pour une application de la leçon. Je me sentais comme un
jouet, mais un jouet utile, un jouet qu’on ne casse pas, un jouet qu’on ne
jette pas après utilisation. Un vrai beau jouet qu’on respectait et j’en étais
fier.
Hooo les fessées de la dame, mes gesticulations les dents
serrées puis petit à petit soupirant de timide « AÏE ! » avant
de chanter plus distinctement, signe que la punition était bien dosée. Quand
mon fessier était bien chaud et rouge, le maître d’apprentissage affichait un
sourire approbateur à son élève en lui accordant souvent de m’administrer un
petit supplément. Hou les suppléments que la dame se faisait un plaisir
d’appliquer avec vigueur.
Une fois la leçon assimilée, les projecteurs
s’éteignaient, la sérénité s’imposait. La main qui m’avait rossé se faisait
tendre et beurrée de crème caressait mon flamboyant postérieur. Tendre attention
qui me comblait ajoutant aux sensations l’agrément d’être pardonné.
En dehors de l’apprentissage, ensemble nous passions
d’agréables moments de palabres et de fou rire autour d’un repas, d’un apéro et
d’ensoleillées promenades dans la montagne.
Mais attention, une sanction pouvait tomber à n’importe
quel moment, Le maître et la dame en décidaient et parfois dans un lieu
insolite comme le parking d’un restaurant où je fus à demi courbé sur
l’automobile et je reçu une dizaine de bonnes claques sur les fesses. Certes il
faisait nuit, mais l’endroit était suffisamment éclairée pour que les passants
nocturnes puissent discerner en partie la scène.
Dans ce rôle de cobaye, je retrouvais des divins moments
de mes jeux préférés. La fessée tombait pour un lit pas fait, des tartines chipées
ou des chaussures mal rangées. La dame et le maître m’offraient du bonheur et
j’espère qu’en retour, j’ai donné l’équivalent.
Les fessées manuelles, grand classique et l’indémodable
de la fessée furent rapidement maîtrisées par la brillante élève. La délicate
utilisation des instruments était en étude secondaire. Le maître d’apprentissage
disposait de toute la panoplie : Martinets, ceintures, verges, cannes,
badines et bien d’autres encore…
Cela fera l’objet d’un second acte.
C'et étrange moi qui n'étais pas tombée depuis une paye par la magies des sentiers de la toile devant l'entrée de la caverne y suis justement entrée ce weekend pour y relire certains récits certains partages qui me plaisent tant... :)
RépondreSupprimerps - Très chouette ce dernier travail graphique en noir & blanc
Je connais le chemin si ça te dit (rire)
SupprimerD'accord mais à l'arrière de ta moto ! :D !!!
RépondreSupprimerBonjour Mike !
RépondreSupprimerUn moment très convivial , qui n'est pas donné à tout le monde de partager. Chanceux d'avoir rencontré un couple fesseur. Qui plus est actifs tous les deux. D'ordinaire les dames qui officient sont en nombre très limité et très recherchées par les messieurs en manque de fessées féminines. L'inverse semble plus répandu. Toujours un style inimittable quant au graphisme et le NetB ajoute au côté souvenir. Sympa. A quant la suite SVP ? Bonn'journée. Peter Pan.
Il est vrai que les fesseuses sont plus rares, mais pas impossible à rencontrer. Je n'ai aucune recette à ce sujet, j'ai, comme d'habitude, eut la chance de d'abord converser sur O.J avec ces deux charmantes personnes et le reste a suivi. Je ne sais si je suis privilégier, mais je reconnais que je n'ai jamais fait beaucoup d'efforts à faire, si ce n'est que d'être le plus naturel possible, respectueux et ne pas trop bluffer, pour avoir des relations avec des partenaires.
SupprimerSalut Mike
RépondreSupprimerOui ce fameux WE ... Une histoire vraiment bien décrite. J'aime beaucoup ton dessins en grisé avec une perspective en lente plongée sur tes fesses rougissantes. Les plongée et contre plongée, une petite astuce d'illustrateur que l'on ne pense pas souvent à utiliser. En tout cas bravo.
Un peu plus d'un week-end si mes souvenirs sont bons.
SupprimerIl est vrai que dessiner une fessée de manière original devient très difficile tellement il y a eut de dessins et de photos sur le sujet, d'ailleurs celle là ne l'est pas vraiment car en fait on utilise des cadrages un peu moins usés pour paraître un peu moins banal.
T'as toujours des trucs sensas à raconter, Toi !
RépondreSupprimerBen ce n'est pas de ma faute à moi, je ne fais que d'accepter les propositions qui s'offrent étant particulièrement incapable moi même d'en faire.
SupprimerSalut mike quel plaisir de lire et relire tes expériences savoureuses Et oui OJ nous a rapproché puis fini faut en trouver un autre d'équivalent pas simple J'espère retrouver ces envies de donner des fessées à de jeunes filles chose qui me sont devenues plus rares Il est sur que j'aiune certaine exigence pour ce jeu mais bon Bonne route à toi et tu sais que la cverne est ouverte juste pour boire un coup
RépondreSupprimerpas de problème, je connais le chemin.
SupprimerUn apéro, et qui sait ce qu'il adviendra après.
Ah, je me souviens de la scène de la fessée sur le parking que j'avais lue sur le site des fessées pyrénéennes (tu vois que je suis tes aventures silencieusement depuis très longtemps... Vraiment désolé de ne pas avoir brisé la glace plus tôt... Probablement que ta grande expérience comparé à mes velléités solitaires m'a considérablement freiné :( )
RépondreSupprimerGrande expérience c'est beaucoup dire.... Disons que j'ai eut pas mal de chance de rencontrer des personnes dans le milieu très tôt et qui avaient aussi de bonnes relations.
SupprimerJe ne fais aucune différence entre celles ou ceux qui débutent, qui ont de l'histoire, qui ont joué de telle ou telle autre façon, je crois avant tout qu'il y a des gens qui existent dans le fantasme et qui se débrouillent avec les moyens dont-ils disposent.
Quel très beau récit ! je suis très émue mon Mikounet. Tu racontes cette expérience avec tous les ingrédients qu'on avait tous si chaleureusement apportés. J'avais tellement peur de te blesser. Toi tu me montrais ta confiance et Maître Ours était très attentif pour que j'apprenne à bien faire. J'ai découvert quelque chose de vraiment merveilleux. Oh oui j'aurai encore du plaisir à rougir tes fesses de chenapan. Merci mon Mikounet.
RépondreSupprimerHo Mirabelle, quel plaisir ton commentaire ! Je ne suis pas devin, mais de bons moments nous en aurons encore.
SupprimerJe l'espère bien mon Mikounet. Et j'envisage même d'aller à Paris un de ces 4. J'y ai pas remis les pieds depuis un moment, une occasion de revoir la capitale. ^^
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