Déculottage
Premier post de l’année 2014, j’ai donc choisi un chaud
sujet en espérant que cette page vous plaira.
Le déculottage est une action bien banale diront
certains. Certes nous le faisons quotidiennement : Pour prendre la douche
ou un bain, pour se changer, aller au lit, quelques fois chez le docteur et
aussi pour s’asseoir sur le trône des toilettes. D’ailleurs pour ce dernier
exemple, c’est vivement recommandé.
Le déculottage peut être délibérément provocant en sport
devant une équipe adverse, le faire aussi, comme disait l’artiste, pour montrer
son cul et nos bonnes manières, voir devant la maréchaussée ce qui est beaucoup
plus risqué et que je ne conseille pas au risque de se retrouver au ballon avec
à la clef une forte amende pour outrage.
Bref le déculottage est une habitude chez les êtres
humains, somme toute, un geste anodin.
Mais le déculottage est également un préliminaire à la
fessée entre adultes et dans ce cas, l’acte n’entre plus dans la liste
habituelle des tâches quotidiennes ou du moins n’est pas sans effet
psychologique et corporel.
Une fessée consentie reste une fessée et qu’elle
soit érotique ou punitive, elle est le vecteur d’un grand nombre d’émotions
aussi variées qu’il y à d’adeptes.
Je considère que la fessée n’est pas simplement maintenir
une personne et lui flanquer bêtement des claques sur les fesses. Il est dans
la fessée des avants, des pendants et des après que chacune et chacun notifient
selon ses préférences. Parmi les ultimes préliminaires, il y a le déculottage
et cette étape engendre bien des troubles.
On peut comparer poétiquement le déculottage à
l’effeuillage, gastronomiquement à l’épluchage, sauvagement au déchirage, mais
quelque soit la méthode, la finalité et bien de mettre à nues les zones intimes
d’une personne. Aussi bien pour la fesseuse, le fesseur, la fessée, le fessé et
éventuellement les témoins, cette étape est poivrée de frissonnements, de
chaleur, de contemplation, d’humiliation, d’excitation voir pour certaines et
certains d’une forme de régression et d’infantilisation.
Le déculottage est multiple. Il peut être ordonné à la ou
le fessé de se déculotter lui ou elle-même.
La ou le fesseur peut prétendre à ce que ce soit lui et
personne d’autre qui déculotte la ou le puni.
Il est des mises cul nu qui se font après avoir déjà administré
une ou deux fessées. J’appelle cela le déculottage progressif et j’avoue que
cette façon de faire ne me laisse pas indifférent. La fessée d’abord sur le
pantalon, la jupe ou le short, la seconde sur la petite culotte ou le slip et
la dernière, une fois que les fesses ont suffisamment été apprêtées, sur le fessier
nu.
Le déculottage peut être exercé en public ce qui augmente
encore les perceptions humiliantes. Ceci bien entendu ne se réalise qu’avec un
public initié à moins que les protagonistes aiment se produire autrement.
En tout cas, pour l’avoir vécu, le déculottage devant un
public vous flanque une tornade d’émotions qui vont de l’affolement au désarroi
en passant par la décomposition. Pourtant, cette déstabilisation due à une
vexante exposition publique procure assez rapidement une puissante excitation
qui vous secoue tout le corps sans plus avoir réellement de contrôle sur rien.
Le déculottage peut aussi être l’ultime étape d’une mise
à nue complète avant punition. Une dernière étoffe, unique et fragile
protégeant les rondeurs postérieures et les parties génitales. Un petit bout de
tissu qui peut être lentement glissé pour enfiévrer davantage la ou le fessé.
Le déculottage impose aussi un sentiment de vulnérabilité
et de non retour.
Pour moi, le déculottage est une étape incontournable de
la fessée et plus cette action est bien menée, plus ce qui suit en sera exquis.
Je n’ai parlé que du déculottage post fessée, il existe également
des déculottages pour des pénitences et autres jeux, ce sera peut-être
l’occasion d’un autre post.
Vous avez dit *Déculottage* tout commence dans beaucoup de situations, pas ce petit morceau de tissus, qui soit simple, en coton, dentelle, peu coûteux ou très onéreux, il sublime ou cache juste ce petit coin de notre corps, il faut bien à un moment ou un autre en faire quelque chose de cette culotte!
RépondreSupprimerHop je ne fais pas ma timide pour 2014, de plus je ne le suis jamais quand il faut la retirer, sauf que des fois ...
N'ayant aucun pudeur, je peux retirer ma culotte n'importe où et devant n'importe qui, cela ne fait n'y chaud, n'y froid je pourrai dire et si j'en porte pas et que je dois me mettre nue devant un médecin par exemple, il fera avec ! Je n'ai jamais eu besoin ce cet artifice pour ressentir quelque chose comme vous l'expliquez Mike, je ne pense pas être la seule non plus dans ce cas.
Par contre,dans le cadre de ma relation, il est vrai que le moment où je dois retirer ma culotte, me fait toujours un pincement au cœur, ne sachant pas très bien si mon partenaire va me la retirer ou s'il va me demander de le faire, je préfère ne pas en porter dans ses moments, au moins je n'ai pas à réfléchir à ce que je dois faire et surtout comment le faire. Il est vrai que je n'aime pas non plus garder ma culotte pour recevoir la fessée.
Pour 2014, j'adopte l'option d'attendre les ordres.
Mais oui Papillon Doré, chacune et chacun a des sensations qui sont parfois très différentes concernant le déculottage.
SupprimerTrès bel exposé, Mike... j'ai dû faire un sujet là-dessus il y a un bon moment, mais tu es bien plus exhaustif !...
RépondreSupprimerMes compliments !...
Merci Waldo.
SupprimerL'inspiration du moment qui fait le post, mais qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse.
Un très bel article pour commencer l'année.
RépondreSupprimerEt puis le déculottage ... c'est juste tellement troublant comme instant...
Merci pour ce bel article et bonne année à toi :)
Merci Malicieuse Cigogne
SupprimerMmmmm oui troublant, c'est le mot.
Le déculottage... J'aime tellement. Ça doit être pour ça que j'adore les culottes.
RépondreSupprimerMême avec un partenaire régulier il y a des jours ou je ne peux pas m'en empêcher, ma main file accrocher le tissus, le temps de reprendre mon souffle et de geindre un peu...
Enfant et adolescente, je me suis tellement régulièrement imaginée en train de prendre une fessée. En rêverie je n'arrivais pas à ressentir les claques par contre ce frisson qui vous hérisse les fesses au moment ou la culotte descend, oui ! C'était complètement fou, j'en avait le ventre serrée et les oreilles rouges...
Et ensuite les cuisses serrées et les fesses rouge. Un vrai caméléon Ellie.
SupprimerBonsoir à Vous tous !
RépondreSupprimerD'abord, meilleurs voeux et bonne année 2014 avec son lot coutumier de bonnes résolutions ( à tenir ! Pas sûr ! Pas sûr !).
Ensuite, je m'incline humblement devant la science d'un maître-ès- fessée ( ou bien : Maître-sse-fessée !!! Ha Ha Ha Ha ! Je ris !). Belle analyse. 09/10 . Félicitations du Jury.
Le déculottage est à la fessée , ce que la bonification est aux bons crus. Il faut que ça "mijote" . Quant le potage déborde, il est à point. Curieuse cuisine. Peter Pan.
Meilleurs vœux à vous aussi.
SupprimerJ'aime beaucoup le dernier dessin et ce qu'il exprime de laisser-aller et de frémissement :)
RépondreSupprimerMerci Marie Tro
SupprimerJ'aime aussi beaucoup le dernier dessin... madame aime bien me baisser la culotte en se mettant bien en position pour regarder mon "devant". Remarque sur ma perversité assurée en cas de turgescence...
RépondreSupprimerJe comprends et ça pique un peu les joues hein ?
SupprimerJamais je ne peux me déculoter sans avoir une érection qui se maintiendra même sous les coups les plus durs....je crois que je suis maso !
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