ZAPPING SPANKING

Y’a des fois ou je me vautre devant la télé et je zappe sans m’arrêter sur un programme particulier à moins de dénicher une diffusion captivante, culturelle ou m’emportant loin ailleurs, ce qui est très rare j’en conviens ; la télé n’ayant pas le but premier de nous instruire et si parfois les émissions ou quelques films sont de bon niveau, c’est sans doute pour confirmer la règle par l’exception.

Donc ce jour, mon index, entrainé par des années de flipper, titille à intervalles irréguliers le bouton de la télécommande. C’est sûr, me direz-vous, qu’il y a des boutons plus amusant à titiller… Au fait, vous ais-je demandé votre avis ? Pour un tilt avec vous je ne ferais pas n’importe quoi.


Voilà que je bloque quelques instants sur le tennis féminin, ne me demandez pas qui jouait parce que cela m’importe peu. Ben oui, ce sport ne vaut à mes yeux que par les belles et courtes vêtues qui dansent sur la terre battue.

Je ne sais si vous avez remarqué, mais en fond de cour il y a un compteur qui affiche la vitesse de la balle. Impressionnant, je dois le reconnaître… Mais pourquoi je vous raconte cela dans un blog orienté plutôt claquage de fesses toutes catégories majeures confondues comme une glace fraise au soleil ? C’est simplement que laissant courir mes rétines sur les jupettes, les culottes et les cuisses des tennis woman, je divaguais vers une rencontre sur fesses battues, genre tournois aux peines où moi ramasseur de mal, la ligne franchie je paye la faute.

 Je m’excitais donc de sévices gagnants et d’aïe-ces. Devant mes yeux larmoyants, le compteur m’indiquant la vitesse de la main frappant mon postérieur. Mais ne pensez-pas qu’en championnat OTK il n’est que jeu de paume, la raquette de cuir ou de bois n’est pas interdite.

Prendre le mâle au rebond, point d’amortie c’est en volée, coups droits, smatch et revers en-score et en-score…