Je n’ai jamais relaté cette histoire alors que j’ai
témoigné de bien d’autres anecdotes. Je ne sais pas trop pourquoi d’ailleurs.
J’ai souvent commencé mon histoire de fessé par la suivante ou celle d’après. Je
pense que c’est comme la première fille avec qui on fait l’amour, c’est un
moment à jamais gravé mais il reste intime et on parle plus des suivantes que
de la première. Peut-être parce qu’elle nous parait sacrée. Pour la première
vraie rencontre fessée, en ce qui me concerne c’est un peu pareil. Sans doute y
a-t-il une certaine pudeur ou peut-être protéger ce trésor dans mon petit coffre
à bijoux. Pourquoi aujourd’hui ? Peut-être parce que c’est sur mon blog à
moi et que j’aurais l’impression de préserver cette petite histoire dans mon
périmètre. J’ai passé du temps à dépoussiérer ce souvenir et tenter de le
retraduire comme je l’avais vécu et comme je le ressens encore aujourd’hui.
Beaucoup de brouillon pour en arriver à un récit qui n’a pourtant pas la juste
dimension de ce moment. Je crois que je n’arriverai pas et donc je vous livre
ainsi cette expérience comme suit.
Une fois mon service rendu à la nation, j’étais enfin
devenu un homme ; du moins c’est ce qu’on disait à l’époque. Il était
grand temps de s’occuper de vivre son fantasme autrement qu’en envoyant la
monnaie. De petites revues en petites revues, d’annonces en annonces, j’avais
enfin réussi à recevoir une réponse satisfaisante et non marchande. Une
fesseuse me donnait rendez-vous dans un café parisien. Imaginez la chance car
jusqu’à ce jour, toutes les réponses que j’avais reçues et qui me proposaient
la fessée gracieusement, étaient rédigé par des hommes. Ne croyez pas que
j’étais sectaire, recevoir la fessée par un homme m’excitait aussi, mais
j’hésitais, j’avais l’idée fixe qu’une femme ce serait mieux pour une première
vraie expérience.
Ce rendez-vous était avant tout la découverte de l’un et
l’autre, il en était convenu ainsi et que cela n’irait peut-être jamais au-delà
dans le futur s’il n’y avait pas d’atomes crochus.
J’étais en avance, je m’installais à une table,
commandais un café et posait bien en évidence l’officiel des spectacles de la
semaine dernière, c’était ainsi que nous avions défini le repérage. Si les jours
précédents j’en étais plus qu’émoustillé, le jour J, j’avais grandement perdu
de ma superbe. Pour tout dire, j’angoissais, je paniquais et je me demandais ce
que j’allais bien pouvoir dire à cette femme quand elle se présenterait. C’est
facile d’écrire des bafouilles, mais c’est beaucoup moins aisé de redire les
mêmes choses de vive voix. La fessée m’excitait, mais ce fantasme me pesait
psychologiquement, je ne l’acceptais que du bout des doigts et cela me rendait
très timide, peu sûr de moi, méfiant et très anxieux. Des tas de questions à la
con se bousculaient dans ma tête. Vais-je lui plaire ? Que va-t-elle
penser ? Est-elle une simple curieuse qui va se pointer juste pour se
payer ma tronche ? Ne suis-je pas trop moche ? Est-ce que je suis
bien fringué ? Bien coiffés ? Mes ongles propres ? Peut-être que
je la connais au boulot ou qu’elle habite près chez moi et qu’elle va tout
raconter au voisins, mes potes, ma famille ? Etc. Bref je n’avais pas ma
gueule décontractée des grands jours.
Quand un autre officiel des spectacles de la même semaine
s’est posé sur la table, je crois qu’un instant j’ai perdu le son et l’image.
Devant moi était une femme qui m’a d’abord demandé si j’étais bien moi. Je ne
me souviens pas avoir répondu en faisant fonctionner mes cordes vocales, mais
simplement d’un signe de tête affirmatif. Unique réconfort, c’est qu’elle
m’était inconnue, c’était déjà une bonne chose. Elle s’est assise et à commandé
une bière. Je ne m’attendais pas à voir une jeunette, elle n’avait pas caché sa
cinquantaine dans nos correspondances. Question physique, elle n’avait rien
précisé et je découvrais une femme bien portante de partout surtout de la
poitrine et du bassin. Vu l’épaisseur de ses bras, en toute logique on devait
bien sentir quand elle claquait le fessier.
Pour le moment, à part cette contemplation, on n’était
encore loin de la fessée. Elle me regardait en souriant puis à dit que j’étais
bien jeune. De mon côté, je ne lui avais pas non plus caché que je n’avais pas
encore 21 ans. Elle s’amusait de me voir regarder partout autour de nous et de
mon visage effrayé du moindre regard porté de notre côté. A l’inverse, cette
dame n’était pas à son coup d’essai car elle ne reflétait aucune appréhension
et parlait sans accroche.
- Tu es grand mais une fois déculotté je suis certaine
que tu fais plus petit. M’a-t-elle dit sans chuchoter et affichant un large
sourire.
Je me suis tassé sur la banquette, mon visage me piquait
de partout et je devais être écarlate. Je ne savais plus où me mettre et la
seule chose que je lorgnais était la sortie. Ce rendez-vous que j’avais
pourtant accepté et dont je rêvais depuis un bon moment, me paraissait plus
insurmontable que d’aborder une prostituée qui avait été jusqu’à maintenant mes
uniques expériences. Avec une prostituée, même si ce n’étais pour moi pas
facile, on négociait avec une personne dont le métier était le sexe et qui ne
s’étonnait guère des demandes très variées des clients. Aujourd’hui, pour la
première fois j’étais face à une personne ordinaire, une passante, une mère,
une crémière, une mamie, une employée de bureau, bref une madame comme on en
voit partout. Elle se rendait compte de mon embarras et n’a pas insisté. Elle a
tranquillement fini sa bière en silence, a honoré la note puis m’a proposé
d’aller faire un tour. J’ai accepté parce que je n’avais sans doute pas d’autre
réponse à lui formuler et que j’étais pressé de sortir de cette brasserie où il
me semblait que tous les clients me dévisageaient.
Nous sommes allés jusqu’au square au milieu du boulevard.
Elle à choisi un banc et nous nous sommes installés. Au grand air je me sentais
un peu mieux et je dois dire que cette dame avait les mots pour faire descendre
ma température et ma tension. Elle me parlait gentiment en usant de propos choisis
et rassurants. Elle avait très bien compris que j’étais un novice plein
d’incertitudes. Doucement et surtout avec patience, elle me faisait parler de
moi puis de ce qui me poussait vers ce fantasme, ce qui me ferait plaisir et
petit à petit je me confiais non sans éprouver toujours une certaine gêne tant
que j’en fumais cigarette sur cigarette. Je n’ai aucun doute là-dessus, ce jour
je suis tombé sur quelqu’un de bien qui ne s’est pas énervé, qui n’était pas
pressée, qui ne m’a pas brusqué et qui a pris le temps de me décrisper et
cerner ma personnalité. Sur ce banc nous sommes restés un bon moment et
pourtant il ne faisait pas très chaud. Cette première entrevue fut très
productive puisque nous étions d’accord pour une autre rencontre et celle-ci
serait enfin pour s’amuser.
Mais avant, pour bien nous mettre d’accord sur les désirs
de chacun, nous avions encore échangé quelques courriers. Je n’étais pas très
exigeant, j’avais certes des idées, mais sans doutes beaucoup trop et pas dans
le bon ordre. Faut-il adjoindre que j’évitais d’en parler, alors je me laissais
plutôt porter par les siennes.
J’étais prévenu, une fois chez elle, c’était la patronne
et je devais me plier et filer droit. La discipline ce n’était pas mon fort et
d’imaginer que quelqu’un pouvait me driver me faisait bander. Elle m’avait
demandé de porter des sous vêtements blancs car elle disait aimer les garçons
ainsi. Je n’en avais plus beaucoup, mais il m’en restait, alors va pour le
blanc.
Plus le jour du rendez-vous approchait, plus j’étais crispé.
C’était assez confus, parfois je me réjouissais, d’autres j’angoissais au point
même d’abandonner. Ce rendez-vous me paraissait complètement fou et absurde et
pourtant pour solliciter la même chose, j’avais abordé des prostituées qui
avaient été pour le moins décevantes et au plus désastreuses ; sauf une,
mais c’était bien loin de l’hexagone. Le simple fait que cette fois j’avais à
faire à une personne ordinaire m’inquiétait parce que pour moi, contrairement
aux prostituées qui gagnaient leur vie en exécutant ce que les clients
demandaient, une personne normale ne pouvait aimer donner des fessées.
Complètement ridicule, j’en conviens, mais comme je me considérais anormal
d’aimer recevoir des fessées, il était logique que celles ou ceux qui les
administrent le soient tout autant.
C’est sans doute de me persuader que je n’aurais plus
jamais d’autre occasion comme celle là qui m’a convaincu d’aller jusqu’au bout.
Lorsque ce samedi matin j’ai fermé la porte de mon petit studio pour me rendre
chez la dame, mon cœur battait fort et bien plus, quand je suis arrivé à 10H30
devant le portillon de son petit jardinet qui séparait la demeure du trottoir.
Un coup de clochette, elle est sortie et m’a entrainé chez elle. Petite maison
à deux niveaux en crépis gris couvert d’un toit deux pentes comme l’était la
plupart des pavillons en périphérie de la capitale. Ainsi qu’elle l’avait dit,
elle a de suite pris les commandes ; elle m’a fait déchausser et filer des
savates en faux cuir qui avaient largement fait leur temps. Je sentais chez
cette dame un désir d’autorité, mais rien de plus car je n’étais pas du tout
imprégné de la subtilité du jeu. Je ne sais pas si c’était la tension nerveuse,
mais l’attitude que cette dame patronnesse avait envers moi m’amusait et je
devais me retenir pour ne pas rire. J’étais un peu absent, j’étais pour le
moment plus témoin qu’acteur. Je crois que j’étais curieux de ce que je
découvrais n’ayant jamais eut l’occasion avant d’avoir un vrai rendez-vous pour
jouer à la fessée. Assez rapidement mon appréhension disparaissait et mon attitude
devenait aussi naturelle que si j’avais simplement été invité à déjeuner chez
une lointaine tante. Je me sentais bien comme si l’intérieur de ce pavillon
était isolé du reste du monde et quoi que ce soit qui allait s’y dérouler, n’existerait
pour personne d’autre que la dame et moi.
- Nous allons préparer le repas de midi. M’a-t-elle
annoncé.
A coté du réfrigérateur, d’une paterne elle à décroché un
petit tablier avec des pommes rouges imprimées et me l’a tendu. J’ai passé le
haut autour de mon cou, elle m’a retenu de suite.
- Enlèves ton pull, ta chemise et ton pantalon d’abord,
je ne veux pas que tu les souilles.
J’ai ressenti comme un poids qui me tombait sur les épaules
et une chaleur qui me flambait les joues. Je suis resté planté à la regarder
interrogatif. Elle m’a répété son exigence d’un ton plus sec. Je ne savais pas
quoi faire et je restais planté bêtement la bouche ouverte et muette. De son
index elle m’a montré quelque chose derrière moi. Je me retournais et
découvrais un bon martinet accroché à un clou entre le calendrier et une
armoire en formica gris.
- Je peux t’activer à obéir ! A-t-elle dit d’un ton
qui ne laissait aucun doute si je n’obtempérais pas.
J’ai ôté mon pull, ma chemise et mon pantalon, j’étais un
peu gêné, mais j’obéissais sans vraiment réfléchir. Avant de me redonner le
tablier, elle à fait plusieurs fois le tour de ma personne. Elle me contemplait
en s’illuminant d’un large sourire.
- Chez moi pour les garçons, slip et maillot c’est la
tenue ! Affirmait-elle. Tu es un peu grand, mais sinon tu es très bien.
Maintenant c’est moi la patronne et je te conseille de ne pas l’oublier si tu
ne veux pas être puni ! A-t-elle ajouté d’un ton volontairement sec.
Je m’apercevais très rapidement que le fait d’être en
petite tenue rendait vulnérable et m’imposait bien plus l’autorité de la dame ;
c’était de sa part prémédité et réfléchi. Je me sentais donc un peu diminué, mais
cela ne me déplaisait pas. Elle à pris mes effets et les a remisé dans la salle
à manger sur l’assise d’une chaise en paille. Pendant ce temps j’ai vite enfilé
le tablier et noué comme je le pouvais dans mon dos ; plutôt amusant,
comme si ce simple petit tablier pouvait m’habiller dignement.
D’un profond tiroir en bas du meuble, elle à sorti une
dizaine de pomme de terre qu’elle à posé sur le formica de la table puis un
petit couteau du tiroir.
Je dois avouer qu’éplucher ces légumes avec un couteau ce
n’était pas dans mes habitudes car chez moi j’avais un économe bien plus
pratique. Je n’étais pas dupe, elle avait bien préparé son coup et je me
doutais que si je n’épluchais pas bien, j’allais entendre parler du pays. Quand je me
suis installé à la table, je ressentais d’agréables frissons. Cette dame avait habilement
introduit le débutant que j’étais dans son jeu et en quelques minutes avait
fait de moi un complice. J’étais impressionné par la force qu’elle dégageait
qui n’était pas brutale, mais simplement bien posée et qui avait rapidement
pris l’ascendant sur moi.
Je m’appliquais à faire du mieux que je pouvais, mais
quand on n’a aucune expérience on a beau faire, ce n’est pas terrible. A la
deuxième patate elle s’est campé de l’autre côté de la table, les deux mains
sur les hanches en regardant mon travail les sourcils froncés.
- On ne t’a jamais montré comment on épluchait des pommes
de terre correctement ? A-t-elle balancé.
J’étais bien obligé d’admettre mon ignorance. Elle m’a
pris le couteau des mains et en quelques secondes de démonstration, a fini la patate
que j’avais à peine commencée. Rien à dire, la comparaison était flagrante.
- Voilà comment tu dois faire, pas de gâchis chez moi. Me
montrait-elle ses belles épluchures toutes fines. Gare à toi si tu continues
ton massacre ! A-t-elle menacé.
Je ne vous dis pas l’effet que cet ultimatum m’a fait.
Mon corps tout entier à frissonné, non de crainte mais d’un plaisant
chatouillement à la fois brulant et frileux. Pourtant, dans cette réaction je
ne ressentais aucune envie d’être puni mais simplement l’excitation d’une
possible exécution.
Il est évident que je ne rivalisais pas avec la dame en
ce qui concerne la finesse des épluchures et jetant un œil, elle m’a dit
qu’elle finissait de beurrer le rôti et qu’elle allait s’occuper de mon cas.
Mes mains tremblaient, des tas de choses étranges me traversaient l’esprit.
J’étais en bascule, en équilibre instable, je ne savais plus si je voulais
vraiment ou non. Je ne maîtrisais plus le temps qui s’écoulait, je n’étais pas
mort, mais pas vivant non plus. La dernière vraie et bonne fessée remontait à
quelques mois, mais les conditions dans ce bordel d’Amérique du sud étaient
complètement différentes et moins infantilisantes.
J’avais presque 21 ans, je me sentais ridicule,
complètement à côté de mes pompes et curieusement je ne faisais rien. Je
restais sur ma chaise en regardant mes mains qui n’assuraient plus rien si ce
n’est tenir un couteau inutile et une pomme de terre à moitié pelée.
Elle a posé le plat à côté de l’évier, est venu à moi,
j’ai lâché le couteau, la pomme de terre et je me suis essuyé rapidement les
mains sur le torchon qu’elle me tendait. Ensuite, elle m’a vigoureusement redressé
et mis de côté, à déplacé la chaise, s’est assise, m’a tiré par un bras pour
m’obliger à me courber sur ses larges et confortables cuisses. Je n’ai même pas
résisté, en fait je ne déchiffrais plus rien, j’étais tout mou si ce n’est que
je bandais sans aucune sensation d’excitation.
Derrière, le tablier était ouvert et donc je n’avais que
le slip qui n’était certainement pas une réelle protection d’autant qu’il ne
couvrait pas la totalité des fesses et qu’il pouvait être aisément baissé. Pour
cette première petite fessée, elle m’a laissé ma dignité.
A la première claque j’ai sursauté en serrant les dents,
ensuite, ce fut un déluge, je m’agitais sur ses genoux les mains crispés sur
les pieds de la chaise. La fessée n’a pas durée longtemps, moins d’une minute,
mais elle fut intense et bien claquante. Autant dire que J’étais soulagé quand
ce fut terminé. Je me suis relevé un peu hébété et piteux de ce qui venait de
m’arriver.
La dame à replacé la chaise et m’a montré les patates à
finir. Je me suis assis sur le formica tiède, j’avais les fesses qui me
piquaient, je ne disais rien, mon cerveau rattrapait gentiment son retard et je
commençais à réaliser ce qui venait de se produire. Je me suis remis au
travail, la dame avait allumé le four et en attendant qu’il soit à température,
coupait des betteraves pour en faire une entrée.
C’est une fois que j’avais achevé d’éplucher les patates
qu’elle est revenu contrôler. Il y avait du progrès, mais c’était encore trop épais
me reprochait-elle. Elle a rouvert le gros tiroir et a ressortie une pomme de
terre en me donnant une dernière chance de me rattraper.
Tu parles, j’avais beau faire du léger mais ce maudit
couteau ne suivait pas toujours ce que je lui commandais et même si le résultat
était plutôt satisfaisant, il ne plaisait toujours pas à la dame. Elle à
décroché le martinet. Cette fois j’ai frissonné mais de peur ; il y avait
un bon moment que je n’avais plus reçu de martinet et à cette époque passée je
détestais ça. Bien joli de se masturber en imaginant une correction au
martinet, mais c’est autre chose que de la prendre en vrai. Je me suis levé en
secouant la tête négativement pour lui signifier ma réprobation. Pourtant plus
petite que moi, cette femme en imposait et devant elle je ne me sentais pas de
taille. Elle m’a défait du tablier et m’a entrainé dans la salle à manger. Bien
que je traînais les pieds, elle avait assez de vigueur pour me contraindre.
- Je vais t’apprendre à bien travailler ! A force tu
vas comprendre ! Criait-elle.
Houlala, je ne me souvenais plus de la morsure des
lanières sur les cuisses et je peux vous assurer que ce rappel fut cuisant et
pas plaisant du tout, mais bizarrement, j’avais en moi quelque chose qui me
poussait à ne pas m’enfuir et subir jusqu’au bout. Elle me tenait d’un poignet
et me faisait tourner dans l’espace entre la belle table vernis et la fenêtre
au dessus d’un radiateur en fonte. Elle savait y faire, ce n’était pas une apprentie
et de me répéter entre deux séries de coups, que c’était bien pratique la
petite culotte car les cuisses étaient parfaitement dégagées. La flagellation
ne dura pas très longtemps, mais je peux vous dire que j’ai dansé jusqu’à même
supplier qu’elle arrête. Quand elle m’a lâché, je me suis recroquevillé sur le
lino en me frottant les cuisses.
- Je vais mettre le rôti au four et les patates à cuire.
Tâche d’être sage, il y a des revues ici. Me montra-t-elle en me désignant un
fauteuil et le porte revues en osier.
Sur le côté du mur, en face du vaisselier, il y avait une
large ouverture, qu’on pouvait fermer d’un rideau en velours et qui donnait sur
le petit couloir d’entrée. Dans celui-ci, il y avait une haute glace à côté
d’un porte manteau. J’y allais et regardais en reflet l’arrière de mes cuisses.
Elles étaient marquées de lignes désordonnées et quelques points un peu plus
rouges sur les côtés, mais rien de bien méchant, d’ici deux ou trois heures
tout aurait disparu. Je m’inquiétais de ça car il ne fallait pas que lundi au
vestiaire du boulot, je me déshabille pour me mettre en bleu avec des marques
apparentes.
Je me suis donc installé dans le fauteuil et le cuir
froid m’était très agréable aux cuisses. J’ai feuilleté des revues en attendant
que la dame se manifeste. Si la flagellation au martinet ne m’avait procuré
aucun plaisir sur le coup, son souvenir encore chaud me titillait et je sentais
sous le coton mon pénis gonfler délicieusement. Quand elle est venue dans la
salle à manger c’était pour me faire dégager du fauteuil et me montrer un gros
pouf de cuir. Elle à juste jeté un bref coup d’œil à la bosse de mon slip sans
faire aucune remarque puis à ouvert le bas du vaisselier et m’a proposé un
apéritif en énumérant ce qu’elle avait. Charmante attention, un petit réconfort
bienvenue après la fessée et le martinet. Nous avons trinqué amicalement, mais
je sentais toujours son autorité peser sur moi. Un peu plus tard nous sommes
passés en cuisine et nous avons dégusté les betteraves, le rôti, les patates et
des fruits au sirop.
Devinez qui devait se trapper la vaisselle ? Moi
bien sûr ! J’ai remis le tablier et hop, à la plonge. C’était bien la
première fois que je faisais la vaisselle avec plaisir parce que la dame me
drivait, mais surtout parce que j’avais envie de l’être. Etre en petite tenue
me donnais une agréable sensation de fragilité et ce coton blanc avait un parfum
suranné qui me repoussait en arrière de quelques années. Il est à noté que
depuis ce jour, j’ai toujours affilié les sous vêtements blancs à la fessée et
bien entendu, j’en portais a chaque fois que je jouais.
Je commençais à faire la différence entre des rencontres
furtives pour une fessée fast-food payante et la magie d’un jeu partagé et de
s’y soumettre. Je n’en prenais pas encore toute la mesure, c’était bien trop
nouveau pour moi, mais croyez que j’appréciais cette découverte.
Les assiettes et couverts, impeccables, mais le plat du
four restait parait-il un petit quelque chose, mais vraiment petit, fallait
presque une loupe. J’ai juste chambré un peu, faut pas déconner, je ne suis
même pas certain que c’était d’aujourd’hui. La dame n’a pas du tout apprécié ma
désinvolture, elle m’a collé au piquet les mains sur la tête en me disant
qu’elle allait s’occuper de mes fesses très sérieusement ; une fessée
déculottée, m’avait-elle précisé qu’elle m’administrerait après avoir fait le
café.
Le piquet ce n’est pas génial, pour tout dire ça
m’emmerde ! Par contre lorsqu’on est menacé d’une fessée déculottée, c’est
beaucoup plus stimulant. Le nez au mur, j’entendais l’appareil moudre le grain
puis son arrêt, ce qui signifiait que dans les étapes de préparation du café,
il y en avait une en moins et cela m’approchait de l’exécution. Le robinet et l’eau
qui coule dans le réservoir puis le compartiment filtre qu’on tasse un peu. La
fessée devenait proche et l’érection tendait joliment mon slip. Toute nouvelle
sensation pour moi, l’attente m’énervait d’impatience, je découvrais ce
délicieux supplice. Le petit craquement de l’allumette et le gaz qui s’enflamme
sous la cafetière. C’étaient les ultimes secondes. Je sentais mes bras et mes
cuisses se couvrir d’une chair de poule. J’avais envie de cette fessée même si
je n’étais pas certain de la supporter jusqu’au bout, tant pis, il fallait
maintenant que ça tombe. J’ai senti dans mon dos qu’elle s’approchait, c’était
délicieusement terrifiant ! Elle m’a approché de la chaise, s’est assise
sans se presser, m’a regardé dans les yeux quelques instants puis a attrapé des
deux côtés l’élastique de mon slip. Ce n’est pas par le froid que grelottait
tout mon corps car le logement était suffisamment chauffé ; c’était
quelque chose que je ne pouvais réellement définir, mais quelque chose de
puissant. Etre novice et découvrir est un moment qu’il faut déguster car avec
l’expérience, les sensations ne sont plus aussi surprenantes. Volontairement
elle attendait avant de glisser mon slip vers le bas de mes jambes. Une belle
pointe blanche désignant le plafond trahissait mon érection. J’avais un peu
honte et cela me procurait en même temps un très fort plaisir. Une érection en
tant que telle n’est pas embarrassante, ce n’était pas la première fois que
j’étais ainsi devant une femme, mais aujourd’hui, tout était différent, ce n’était
pas comme le peu de filles avec lesquelles j’avais un peu tripoté ou couché. Ce
n’était pas une prostituée qui fessait parce ce ça faisait partie de son travail.
Cette fois, la dame était une partenaire qui par consentement mutuel, me
dominait et avait la totale disponibilité de mon être. Elle décidait de tout et
menait si bien le jeu, que j’admettais même avoir mérité. Novice certes, mais
sans doute prêt depuis longtemps.
Elle a ouvert large pour que mon sexe bandé n’accroche
pas puis lentement à glissé le slip à mes genoux. Je me souviens très bien
avoir fermé les yeux de bonheur. Tout devenait magique et même la pensé qu’il
allait m’en cuire me ravissait.
Elle m’a basculé assez vigoureusement, certainement pour
me faire comprendre l’intensité de ce qui allait suivre. Une fois en position,
les claques sont immédiatement tombées.
- Je vais t’apprendre à te moquer de moi !
Avait-elle dit en préambule.
Une vraie fessée, une vraie de vraie ! Celle là je
l’ai bien senti et je n’avais guère le loisir de compter, ça tombait dru comme
un jour d’orage. Oubliée la petite fessée d’avant le repas, celle là était bien
plus enragée et durait. Je serrais les dents pour ne pas crier, mais quand ça
fait mal, il arrive un moment où on se lâche. D’abord on se plaint, on crie
puis on implore.
Une fois les fesses bien claquées, j’ai mis un certain
moment avant de me relever. Je pense que quelques frappes de plus auraient fini
par me tirer des larmes. En me reculottant j’avais dans les yeux la révolte et
le reproche qu’elle m’avait fait souffrir, mais curieusement, je ne formulais
rien. Le fait de me soumettre et surtout de m’abandonner à la discipline de
cette dame, me procurait un cocktail d’émotions contradictoires :
régressives, humiliantes, douloureuses, révoltantes, justes, injustes,
nouvelles, plaisantes, déplaisantes, mais d’une telle puissance, qu’elles me
révélaient ce que j’étais au plus profond de moi-même. Ce que je dissimulais et
refusait me submergeait et je sentais forcer en moi un homme qui réclamait sa
part de moi parce qu’il était moi.
Elle a servit le café avec un air renfrogné en ne cessant
de me culpabiliser. Pourtant je n’avais presque rien dit, juste un peu rigolé
quand elle m’avait montré la minuscule tâche de brûlé sur le côté du plat et qu’elle
en faisait tout un plat. D’accord j’avais reçu la fessée que je méritais, mais
d’en rajouter me gonflait un peu et j’en soupirais en finissant mon café.
Attitude qu’elle jugeât irrespectueuse et elle me le faisait savoir
verbalement. Je ne l’écoutais plus, je n’avais plus envie de jouer, la dernière
fessée avait marqué autant mes fesses que la fin du jeu.
Elle s’est levé et malgré mes molles protestations, je
fus conduit à l’étage et poussé dans un réduit pauvrement éclairé par un
vasistas. Elle me montrait dans le fond un coussin posé sur un tapis usé. Avant
de refermer elle m’a dit de bien méditer mes insolences avant d’en recevoir une
autre.
Je vous assure qu’une fois seul, l’unique chose que je
méditais c’est le manque total d’envie d’en reprendre une. Les fesses pourtant
posées sur un coussin, me lançaient encore un peu. Un cachot ou plutôt une
toute petite pièce de couture qui servait à l’occasion de prison de fortune et
qui avait certainement enfermé bien d’autres punis avant moi. Sur un épais
plateau de bois patiné fixé au mur, trônait une machine à coudre et sur des
étagères étaient des boîtes en carton ou de fer étiquetées : Boutons,
fils, aiguilles, lacets, pièces, lampes, fusibles, vis, clous, outils etc. Elle
n’avait pas fermé la porte à clef, je pouvais donc en sortir librement. J’ai
hésité à le faire et lui dire que c’était suffisant, que j’avais ma dose et
rentrer chez moi. Elle n’aurait pas fait d’histoire, nous avions passé un accord
dans ce sens. Je regardais la lumière à travers la vitre du vasistas puis j’ai
posé ma tête sur mes genoux. Bien au chaud et pas trop mal installé, j’ai du
m’assoupir quelques minutes car je n’ai pas souvenir du temps réel que j’ai
passé dans ce réduit. Je me souviens d’avoir sursauté en entendant la dame
discuter avec quelqu’un en bas dans le couloir d’entrée. Je ne comprenais pas
ce qui se racontait mais au bout d’un petit moment le silence est revenu. Mon
esprit vagabondait et la fessée promise s’imposait de plus en plus dans cette
errance. A cette échéance, l’excitation me gagnait et mon sexe se redressait.
Le souvenir de la précédente, si douloureuse et humiliante fut-elle, devenait
savoureux. Petit à petit, l’imagination, la pulsion et le désir me brûlait les
trippes, ma condition de puni m’habillait comme un costume sur mesure même si
celui si n’était qu’un deux pièces, maillot et slip.
Quand elle à ouvert et m’a tiré en dehors, j’étais prêt
et cela se voyait comme le nez au milieu de la figure. La chaise de la cuisine
était déjà en place, je savais ce qui m’attendait et je me laissais conduire
docilement.
Slip aux chevilles et basculé rapidement sur ses grosses
cuisses, j’ai reçu une dizaine de claques sur les fesses à la volée puis plus
rien. Elle avait troussé mon maillot sur ma tête, sa main gauche courrait sur
mon dos en malaxant ma peau assez rudement ou en la caressant tendrement avant
de m’administrer une autre série qui n’était pas comptée d’avance. Quelques
fois trois ou quatre, d’autres cinq ou six ou une dizaine et parfois une seule
appliqué avec rudesse en m’arrachant un cri. De temps en temps, sa main passait
sur ma hanche et cherchait mon bas ventre sans jamais y aller, juste rester
dans un périmètre raisonnable. Je sentais tous le plaisir qu’elle avait d’avoir
mon corps lui appartenir, sa respiration était longue. Je recevais des extraits
de fessée à intervalles irréguliers, c’était comme un feu de paille qui
s’embrase aussi vite qu’il s’éteint. Elle m’emportait dans une autre dimension,
j’étais son jouet qui se plaisait de l’être et il n’est pas certain qu’à ce
moment là, j’en avais même oublié mon nom. La douleur puis ses mains qui
erraient sur mon corps selon ses envies se mélangeaient harmonieusement jusqu’à
ce qu’elle sente par mes tremblements que j’étais presque à bout. Alors d’une
main elle me claquait et de l’autre, la glissait dans mon entre jambe pour
jouer avec mes testicules. Je n’avais plus aucune retenu, je jouissais sur ses
cuisses avec une félicité que je n’avais jamais atteinte jusqu’à ce jour.
Heureux et bien plus que j’étais, confus aussi de l’avoir
arrosé de mon sperme. Elle me relevait tendrement, elle me prenais comme un
pantin et m’asseyait sur ses genoux en me collant la tête sur sa généreuse
poitrine. Nous sommes restés ainsi quelques minutes sans un mot. Elle m’avait
ouvert une porte, mais j’étais encore sur le seuil, il ne me restait plus qu’à
faire le pas.
Après une rapide toilette, autour d’un café, nous avons
longuement discuté. C’est aussi la première fois que je parlais franchement à
quelqu’un de mes envies de punitions. Elle avait parfaitement compris que
j’aimais être un grand garnement et être traité comme tel. A la question, si
j’avais apprécié cette journée, je ne tarissais pas de satisfaction et me
languissais déjà d’un nouveau rendez-vous.
Quand je vous disais que j’avais eut beaucoup de chance
pour cette première vraie expérience de rencontrer la bonne personne, je ne
fanfaronnais pas. Il est certain que cette dame n’avait pas hésité d’inviter un
très jeune homme, c’est une opportunité qui ne se refuse pas car elle aimait
jouer la gouvernante. Cependant, cette dame avait parfaitement saisis mon
ignorance de débutant, mes doutes et n’avait pas profité de cette faiblesse ;
elle avait partagé, m’avait dégrossi et un peu déculpabilisé. Elle m’avait fait
pénétrer dans mon fantasme par la grande porte. Par cette dame, j’ai rapidement
rencontré d’autres personnes, certes à différents niveaux, mais très souvent
correctes. De connaissances en connaissances, j’ai suivit ma route. Bien
entendu, à force de butiner à droite et gauche, on s’écarte parfois du bon
chemin et des bonnes rencontres, mais dans l’ensemble, je m’en suis pas mal
tiré.
Je goûte mon privilège si toutefois s’en est un, Je pense
à toutes celles et ceux qui ont rencontré des gougnafiers ou pire des
prédateurs. Ces gens de peu de scrupule qui ne pensent qu’à leur plaisir et
assouvir leur pulsion sans partage et aucun respect de la personne. Je ne parle
pas à la légère, je me suis aussi fait piéger. Je pense à toutes celles et ceux
qui n’osent plus vivre leur fantasme ni même en parler parce qu’ils ont été
foulé du pied à la porte d’entrée par des minables qui n’ont le titre d’être
humains uniquement parce qu’ils marchent debout.
Il y a des sentiments fragiles, délicats et personnels
qu’il ne faut pas brusquer et pas juger. Le fantasme de la fessée et tout
l’éventail qui si rapporte, à partir du moment où il est vécu par des individus
majeurs, consentants responsables et qui y trouvent plaisir, n’est pas un crime,
ne dérange et n’est nuisible pour personne.
bonjour Mike !!
RépondreSupprimerBeau texte. Emouvant. Quelle chance pour toi d'avoir pu rencontré la bonne personne. Ce n'est pas donné à n'importe qui. La crainte d'être dupé par des gens sans scrupules et profiteurs nous fait parfois renoncé à ce projet. Cest une femme qui a réussi à faire partager son goût pour la discipline domestique. Certaines femmes ont besoin de combler ce besoin de maternité très ferme , un mélange d'autorité, de douceur et de fermeté, tour à tour. Le pb est de mettre le doigt sur ce sentiment qui est peut-être latent chez la plupart des femmes. Le fagot a besoin d'une étincelle pour s'enflammer, non ?? Tu as surement fait des envieux . Bonne journée. Peter Pan
Je ne suis pas la ou le seul à être tombé sur un premier bon rendez-vous, j'en connais personnellement.
SupprimerA cette époque, les moyens de communications étaient différents et sans internet, c'était beaucoup plus long, mais ce n'était pas forcement un désavantage. Pour ce qui est de "chance", je dois avouer que j'ai été plutôt bien servi et encore aujourd'hui, je le suis. Bien entendu, au début c'est le hasard et quand celui-ci fait bien les choses, autant le remercier.
Rassures-toi, ma crainte d'être dupé ne m'a jamais quitté parce que dans ce genre de relation, c'est un risque réel, certes moins à mon âge (rire).
Je crois aussi qu'on aide la chance par sa propre personne ou du moins la représentation qu'en ont les autres. Etre soi même et ne pas trop jouer un rôle est certainement une bonne façon d'être et attire autour de soi des gens de qualité. Il en est d'ailleurs de même quand soi même on est attiré par d'autres personnes parce qu'elles dégagent quelques chose de rassurant, d'honnête et de respect. Même si aujourd'hui je joue moins, les personnes que je fréquente dans le cercle de la fessée, d'un côté ou de l'autre du manche, sont tous hautement recommandables.
Peter Pan, je vous remercie de votre commentaire que je trouve intéressant et qui peut amener d'autres intervenants
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour avoir partagé ce texte et donc cette première expérience intime et qui t'appartient, Mike. La fin me touche particulièrement.
RépondreSupprimerBisous
La Cigogne
Merci à toi Malicieuse Cigogne de ta visite. C'est gratifiant.
SupprimerC'était absolument merveilleux ! Si juste, si vrai, si proche ... J'y étais complètement de ce moment d'incrédulité spectatrice, de ces moments d'irréalités de la réalité vécu, de ces absences au temps réel, de ces plus qu'assez qui disparaissent pour laisser revenir le encore... Merci merci Mike ! :)
RépondreSupprimerTu viens de gagner un énorme Irish ! :D
Un seul ? Ben que faut-il faire pour en gagner deux ?
SupprimerMerci Ellie, C'est quand même dommage qu'on ne peut faire mieux que d'écrire, comme j'aimerai avoir le pouvoir de mettre des gens que j'aime bien à ma place à ce moment là avec les mêmes questions, les mêmes doutes, les mêmes espoir pour qu'ils se rendent vraiment compte de la fragilité et toute la magie d'un court instant de vie. Je les imagine aussi plus tard baignés dans le même traquenard tendu un 25 janvier. L'écriture est un témoignage qui reste assez extérieur au chaleur du corps, la crispation des lèvres et des doigts, le cœur qui s'emballe, aux sueurs du front et ce qu'on ressent en dedans à la fraction de seconde près.
Ah mais en te lisant je heuuu j'étais très émue, palpitante ! Si si ! :)
SupprimerJ'avoue ne plus me forcer à finir de lire les textes qui ne me font aucun effet...
Magnifique texte, Mikounet. Ça me rappelle une certaine soirée ;) Je te vois encore mimer la façon d'éplucher les patates :-P
RépondreSupprimerHa, ha, ha, ha ! sacrée Mistinguette.
SupprimerDe tous les textes que j'ai lu sur ton blog, c'est le plus chargé émotionnellement, Mike.
RépondreSupprimerJe l'ai relu plusieurs fois et je te remercie de nous avoir fait partager cette intense première rencontre !!
De faire plaisir aux lectrices et aux lecteurs en relatant un passage de mon histoire me comble également. Comme tu le dis, ce morceau là était exceptionnel, mais je crois surtout que sa dimension vient de ce qu'il fut le premier et qu'en plus il fut couronné d'une réussite, ce qui, d'après tout ce que j'ai entendu, n'est pas une généralité.
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