Bonjour ou bonsoir.



MON PETIT PLACARD SECRET
. Depuis un bon moment j'avais envie de montrer mes petits dessins et montages imaginés depuis les plus profondes cases excitées et hallucinées de mon esprit. Fantasme avec ou sans "S", selon comme ça vient me titiller... La fessée et quelques de ses multiples satellites en sont les thèmes principaux.

J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !

Petits trucs



A droite j'ai placé une
TABLE DES
MATIÈRES, elle vous permet de choisir des thèmes à visiter selon vos préférences.


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mardi 29 octobre 2013

A CROQUER

Ainsi les dinosaures ont régné sur la planète pendant environ 140 millions d’années. Impressionnant, mais les êtres humains n’y étaient pas. Pauvres bêtes, elles n’ont pas connu les harmonieuses courbes d’une croupe féminine. Terrible manque quand on y pense, comment ces géants ont pu vivre tous ces millions d’années sans ça. Imaginons un peu si aujourd’hui la beauté d’un postérieur féminin n’existait pas, la fessée ne serait pas ce qu’elle est. Son art serait exclusivement masculin, non que ce serait tragique, mais simplement qu’il y aurait un vide.

Revenons aux dinosaures, pour eux point de fessiers humains veloutés d’une peau rose, rien que du rêche, du cartilagineux, du osseux n’ayant aucune comparaison avec la fluidité d’un trait de plume et la souplesse d’un jet de pinceau. Malheureuses bestioles carnivores qui, j’imagine, à la vue d’un gracieux popotin femme auraient sans doute tourné herbivores changeant radicalement l’histoire de notre planète.


Réparer cette omission de dame nature est illusoire, mais tentons au moins un petit délire.


lundi 28 octobre 2013

LA BELLE


Une esquisse réalisée il y a peu d'après un modèle vivant juste après la fessée. Graphisme offert de suite à la belle.

Pour moi c'est si rare que je me devais bien d'honorer par une copie sur mon blog.

mardi 22 octobre 2013

TROTTOIR



Internet n’était pas né et qui aurait pu l’imaginer. La communication à distance était de papier ou de téléphone, mais ce dernier était tenu par un câble et bien trop imposant pour être mis dans une poche. Dans mon petit studio, pas de câble et donc pas de téléphone ; je me rendais au café du coin ou je me servais de celui du boulot. Sans doute, pour certaines et certains bien plus neufs que moi, il est difficile d’imaginer la communication sans téléphone portable et sans internet. Certes, je le comprends tout en argumentant qu’à chaque époque on utilisait de ce qu’il y avait à disposition et on s’en arrangeait. Déjà ne plus avoir à élever des pigeons voyageurs était un net perfectionnement et j’avais abandonné les pots de yaourt avec la ficelle depuis ma dernière colonie de vacances en raison que les lignes n’étaient pas encore sécurisées et le terrorisme sévissait.



Je devine vos questions : Comment faisiez-vous dans le cadre du fantasme de la fessée pour rechercher une ou un partenaire ?
C’était certainement plus long mais pas forcément plus difficile.
A moitié des années soixante-dix, sont apparues des revues vendues publiquement qui traitaient un peu en vrac, par témoignages plus ou moins crédibles, de différents fantasmes dont celui de la fessée qui était généralement englobé dans la rubrique Sado-maso. Le progrès, si on peut le définir ainsi, était que ces publications devenaient disponibles en kiosque et non plus sous le couvert de Sex-shop ou de bon de commande. Dans ces revues, il y avait dans les dernières pages des colonnes de petites annonces triées par sujets. Il est bien évident qu’un bon nombre étaient celles de professionnelles qui se nommaient, maîtres, maîtresses et Dominas ; je n’ai aucun souvenir que le terme de « fesseuse » ou « fesseur » apparaissait dans les imprimés. Il fallait savoir lire entre les lignes. On ne pouvait guère faire un tri entre les amateurs et les pros car les annonces étaient rédigées de la même façon et il résultait qu’un bon nombre de réponses étaient marchandes. En général, pas de numéro de téléphone, il fallait répondre par courrier avec une adresse en poste restante ou par une réponse envoyé à la publication sous le numéro de l’annonce. Seules les annonces publicitaires pour des maisons spécialisées, donjon etc. affichait un numéro de téléphone ou plus tard, un numéro de minitel.



Donc dans un premier temps, il y avait un échange de lettre puis une sélection, on poursuivait par courrier, ensuite par téléphone et peut-être la rencontre. Comme je l’écrivais plus haut, cela prenait du temps. Autre possibilité était les clubs, mais il n’était pas facile d’y entrer si on n’était pas recommandé. Restait en dernier recours les prostituées et je ne suis certainement pas le seul à être passé par ce service, si toutefois  « service » était vraiment rendu. Avec une prostituées, la relation est de clientèle et donc, presque dans tous les cas décevante pour ce qui est de la fessée. Aucun reproche, c’est leur métier, il est donc illusoire de s’attendre à autre chose, mais avant d’en juger, faut-il encore en faire l’expérience.

Je me souviens et aujourd’hui j’en rigole encore, de mon premier contact avec une prostituées. C’était peu avant de partir à l’armée et mon envie de ne plus jouer tout seul était pressante. Donc me voilà en quête d’une dame de métier par qui je désirais recevoir une fessée. C’est facile d’en imaginer le scénario quand on est devant son café du matin, mais quand on se présente sur le trottoir, l’affaire devient délicate. C’était en début d’après midi dans une rue Parisienne où j’avais déniché une prostituée qui attendait son client. Elle était seule et donc à mes yeux, il était plus facile de l’aborder. Certes, mais fallait-il encore lui avouer ce qu’on souhaitait et ça, vu que mon fantasme était un attrait autant qu’un poids culpabilisant, ce n’était pas dans la poche. Je suis passé devant elle en lui jetant un coup œil furtif, puis j’ai continué mon chemin en me disant que jamais je n’aurais le courage. J’ai été boire un café dans un bar en ruminant. J’avais tellement envie d’être fesser ! Un peu plus tard, prenant mon courage à deux mains, me voilà de nouveau sur le trottoir et arrivant à quelques mètres de la même prostituée, mon visage avait pris une teinte d’un rose un peu plus prononcé que d’habitude. Elle m’a regardé avec un petit sourire compatissant et moi j’ai baissé la tête en poursuivant mon chemin sans lui adresser la moindre parole. Il ne faut pas prendre les prostituées pour des truffes, elles ont l’habitude et celle-ci avait très bien compris que je n’étais pas là par hasard et que je n’avais pas parcouru deux fois la même rue parce que je cherchais l’adresse d’un vieil oncle d’Amérique.
Un autre café dans le bar à l’autre bout de la rue. C’est l’avantage des grandes villes, des comptoirs il y en a partout. Au bout d’un bon moment de tergiversation avec moi même, je décidais que cette fois c’était la bonne et que j’allais lui dire ce que je désirais. Me voilà donc à reprendre cette rue pour la troisième fois. Certes d’un pas plus décidé, du moins au départ, parce plus j’approchais de la dame, moins j’avais d’énergie. Sans doute que je serais encore passé devant elle aussi rouge qu’une tomate et aussi muet qu’une carpe si elle ne m’avait pas stoppé en m’attrapant par le bras et en me tirant à l’intérieur de l’entrée d’immeuble. Elle m’a coincé le long du mur et m’a clairement dit en rigolant que j’étais un timide puceau qui n’osait pas et qu’elle allait arranger ça. Grand moment, je dois de n’avoir pas glissé le long du mur parce qu’un miracle me tenait encore sur mes jambes. Me voilà donc en face de la prostituée dans une étroite entrée. Elle me propose une galipette et vu que ce n’est pas cela que je veux je lui fais un signe de tête négatif. Elle s’étonne, me plaque sa main sur la braguette et frotte un peu. Aucune réaction de ma part, je suis timoré et pour le présent incapable de réagir à quoi que ce soit. En d’autre cas, je serais grimpé au plafond, mais ce jour là, j’étais plutôt attiré vers le bas. Elle insiste et comme je ne suis pas de bois, ça me redonne un peu de vigueur. Je lui demande le tarif, elle me répond qu’elle me fait un prix. Qu’est-ce que ça doit être quand elle ne fait pas de ristourne…




Il fallait quand même que je me dépatouille de cette affaire embrouillée car ce n’est pas de fourrer la dame dont j’avais besoin. Je marmonnais quelque chose entre mes lèvres. Elle n’avait pas compris, elle me demandait de répéter. J’étais très mal, vraiment très mal, tout me paraissait pesant, même moi. De toute façon j’étais au pied d’un mur dont je ne distinguais pas le haut, alors avec à peine plus de voix  je bafouillais que j’aimerai recevoir une fessée. Je ne sais pas comment elle à fait pour comprendre mes mots, cette prostituée était très douée pour traduire les dialectes. Elle à rigolé en me balançant un truc dans le genre « Tu ne pouvais pas le dire plus tôt ! ». Elle me tracta dans la petite cour, puis dans un petit escalier qui craquait de partout. Chemin faisant, elle vantait qu’elle était au top ten des fesseuses et que j’allais en prendre une bonne. De telles paroles avaient l’énorme avantage de me vider de toute la tension accumulée ; je n’avais plus qu’à me laisser faire, c’était si simple, pourquoi tant d’hésitation alors qu’il y avait juste à demander ?

Une petite chambre avec un grand lit et des carreaux de petits miroirs collés sur le mur de droite, le tout agrémenté d’une odeur de renfermé tiède. J’ai déposé la monnaie sur une petite table et « A poil ! » Qu’elle m’a ordonné. C’était très loin d’être vraiment crédible mais qu’importe, c’était très excitant de se déshabiller devant celle qui allait me flanquer une fessée. Une fois tout nu, j’exposais une belle érection, j’étais chaud, très chaud même car enfin ce que j’avais simplement rêvé allait se produire en vrai. Je focalisais sur une seule chose, c’était de recevoir la sévère fessée qui allait me flamber les fesses et me faire supplier. Elle m’a poussé dans sa minuscule salle de bain pour me laver le pénis  je me demande encore pourquoi d’ailleurs, mais quel bon moment. Ensuite elle s’est assise sur le lit, m’a demandé de venir en me montrant ses hauts de cuisses. Ça au moins c’était explicite, alors je me suis docilement courbé en travers de l’assise offerte. J’étais en ébullition, impatient d’être corrigé, gourmand qu’il m’en cuise !




Elle m’a claqué les fesses en me grondant comme un gosse ; sa voix ses gestes, tout sonnait faux. Juste de petites claques bien gentilles qui n’avaient pas même la prétention de me piquer un peu. Mal joué, aucune conviction, c’était mauvais, mauvais et encore mauvais, si mauvais que mon érection avait fondue aussi rapidement qu’un glaçon dans un vin chaud. Pour le prix, elle aurait pu faire un petit effort quand même parce qu’autant vous dire que sur ce coup là, le smic horaire était dépassé de 1000 %. La prochaine fois, je reste à la maison, je me mets le pognon dans ma main gauche, j’attrape ma raquette de ping-pong, je ferme les yeux et je fabule en me fessant tout seul.


Je suis rentré chez moi dépité, déçu, anéanti, laminé et je me suis consolé en me tripotant, les yeux sur une bande dessinée SM.

mardi 15 octobre 2013

SCOLAIRE 2


Le scénario scolaire dans le fantasme de la fessée tient une bonne place parmi les jeux de rôle. 
Les images et les témoignages plus ou moins véridiques de stricte discipline dans des collèges, lycées, pensions etc. enfièvrent l'imagination des amatrices et amateurs du genre.
Le frisson d'un retour sur l'estrade ou tout simplement d'y monter, pour celles et ceux qui n'ont pas connu ce marchepied de parquet. Le tableau noir ou s'inscrivent à la craie de main de Maître ou maîtresse, les exercices. L'uniforme infantilisant qu'on ressent comme une humiliation. La tentation de faire le pitre ou d'être cancre. La ou le prof qui ne laisse rien passer et qui sanctionne souvent par le châtiment corporel avec ou sans instrument. Bref tout un univers qui engendre pour certaines et certains beaucoup d'émotions et de plaisir.




La redoutable règle carrée qui peut s'appliquer sur les fesses, les cuisses ou les doigts, avec bien entendu, toute la retenue nécessaire pour que la sentence soit parfaitement ressentie sans blesser. Il ne faut jamais oublier que les jeux de dominations, de fessées et punitions entre adultes consentants restent des jeux qui doivent engendrer émotions, frissons et plaisirs



La non moins redoutable règle plate qui claque brûlante les fesses ou les cuisses



L'éventail des punitions dites scolaires est large ;  le bonnet d'âne, la mise au piquet ou au coin debout mains sur la tête ou à genoux et les incontournables lignes. 
Il est à noter, pour celles qui illustrent juste au dessus, qu'elles n'ont pas été faîtes juste pour être un exemple, mais réellement données en punition à une indisciplinée. 

mardi 8 octobre 2013

VOCATION ?

Attraction vers un astre du corps
Par le regard une œuvre exposée
Par les mains posées en accord
On tourne et retourne autour enivré.



Rondeurs naturellement envoûtantes
Davantage, si  gracieusement offertes
Par le feu, écarlates et consentantes
Tous nos sens frémissants en alerte.


Elles prennent, punies, l’avantage
Qu’elles soient courbes féminines
Qu’elles soient novices ou d’âges
Qu’elles soient sobres masculines.



N’était-ce pas de seconde nature ?
Une autre façon de les honorer ?
Et croyez qu’il n’est pas de parjure

 Par plaisirs partagés de les fesser