Bonjour ou bonsoir.
J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !
Petits trucs
.
dimanche 29 décembre 2013
jeudi 26 décembre 2013
samedi 21 décembre 2013
DÉBOIRE AVEC MODÉRATION (1)
On raconte toujours le meilleur de nos expériences et
pourtant elles ne sont qu’une part du gâteau plus ou moins importante selon les
personnes. Pour celles et ceux qui sont en couple et qui vivent ensemble le
fantasme, ou celle est ceux qui ont une ou un partenaire régulier, il est
évidents que les déboires sont limités, mais pour qui butine de fleurs en
fleurs, il y a parfois des plantes qui n’ont pas le parfum de leur parure, qui
ont des épines à leur tige ou des carnivores qui vous vous mordent.
Le genre « Déboires » est vaste. Les plus
effrayants, lorsqu’on tombe sur des prédateurs ou des irresponsables. Les fâcheux
pour les rendez-vous où les protagonistes ne s’accordent pas. Les frustrants
quand les fessées sont ratées, décevantes ou sans saveur. Les agaçants quand
les lapins se succèdent où qu’il y a tromperie sur le sexe, mais il y a aussi,
les moments embarrassants, inattendus, angoissants qui après coup deviennent
une risible anecdote.
Justement, question situations loufoques et inopinées,
j’en ai quelques unes.
De connaissances en connaissances, je rencontrais dans le
milieu de la fessée assez de monde ce qui me permettait d’être rarement en
panne. Je ne me fidélisais nullement, j’allais suivant les propositions et mes
envies.
C’était dans les années 1982 et 83, j’avais 27 et 28 ans.
Un des fesseurs que je rencontrais épisodiquement, habitait dans une région
pétillante à deux heures de la capitale. Quand je me déplaçais, c’était pour un
week-end.
Il y avait un truc que j’adorais quand il faisait
beau ; l’homme m’emmenait par des routes traversant les vignobles dans un
petit coin tranquille pour m’administrer une fessée en plein air. Bien entendu,
je portais un petit short qui était pour lui comme pour moi la tenue de
circonstance. J’ai toujours, certainement par souvenirs et par fétichisme,
associé short ou culottes courtes à la fessée.
Mon fesseur garait l’automobile sur un bas coté de la
route et par un tracé peu emprunté, nous marchions une quarantaine de minutes
jusqu’en haut d’une colline qui offrait en son point culminant un joli panorama
sur la campagne et les vignobles. Là-haut se trouvais un gros bosquet d’arbres
et puisque je n’étais pas le premier qu’il conduisait en ces lieux pour une
fessée, l’homme laissait sur place un tabouret en fer dont les multiples
couches de peinture avaient rendu boudiné l’assise et les pieds.
C’était très excitant de marcher vers cet endroit sachant
ce qui m’attendait une fois arrivé. Chemin faisant il ne cessait de me titiller
par des « Avances plus vite ! » « Tu vas voir ce que tu vas
prendre ! » etc.
Question fessée, l’homme était plutôt rude, de me
provoquer et m’exciter ainsi me faisait bouillir et m’impatienter de la
vigoureuse fessée qu’il me flanquait cul nu en pleine nature. Je peux vous dire
que quand on redescendait de la colline, j’avais les fesses piquantes et bien
rouges. Rien à redire, quand la fessée était bien préparée, la sévérité me
procurait beaucoup de plaisir jusque parfois en jouir.
C’est justement un jour lorsque nous arrivions à la
voiture qu’une autre s’est stationnée juste derrière. Rien de bien grave, il me
fallait vite m’installer et nous aurions démarré sans même apercevoir le visage
de l’autre conducteur.
Mais voilà, tout ne se passe pas comme on l’imagine, car
la femme sortant de ce véhicule ne m’était pas du tout une inconnue et
m’interpellait. On entend dire souvent que le monde est petit, je l’affirme, il
l’est !
Cette dame n’était rien d’autre qu’une proche voisine de
la rue où j’habitais. Une veuve très alerte la soixantaine bien tassée que je
rencontrais souvent chez la libraire et qui discutait de littérature avec la
commerçante et quelques femmes amies, mais les bavardages ne concernaient pas
seulement les belles lettres, tous les petits potins étaient également au menu.
Que faisait-elle aussi loin de chez elle ? Elle
aurait d’ailleurs pu me poser la même question.
Cette dame était une photographe amatrice et plus
précisément dans la macro pour photographier des insectes. D’accord c’est
chouette la macro, mais les insectes de la région ne devaient pas être plus
intéressants qu’ailleurs, alors pourquoi avait-elle choisi de venir ici ?
Moi j’avais une bonne excuse, c’est quand même plus difficile de quêter des
fessées que des insectes qui eux, pullulent dans n’importe quel jardin, même
ceux de la région Parisienne.
En tant ordinaire,
cette rencontre n’aurait été qu’une agréable ou banale formalité, mais en ce
jour, c’était bien différent car le petit short de sport très vintage que je portais
était certes sexy, mais très court et ne dissimulait évidement pas toutes les
rougeurs de la fessée récemment reçue. A l’arrière, le plus haut de mes cuisses
présentait des traces bien visibles et si explicites qu’elles ne pouvaient
laisser de doute sur leur provenance.
Pas le temps d’ouvrir la portière, de m’asseoir puis de
refermer à son nez. De toute façon cela aurait été pure impolitesse et pas
forcement une bonne stratégie. Je me suis collée les fesses sur l’aille de la
voiture, j’ai placé mes mains de chaque côté pour camoufler au mieux. J’avais
le visage incendié et cela devait se voir.
J’espérais un rapide échange de « bonjour » et
quelques banalités sur le beau temps ; que non, la dame très contente de
rencontrer un voisin, commençait à me déballer son matériel photographique et
m’expliquer la technique de la macro, me montrait son dernier flash annulaire
et ses objectifs spéciaux. Moi je restais collé à l’aile de la voiture en
hochant la tête faussement admiratif. Mon fesseur qui s’était installé au
volant, était spectateur privilégié de mon embarras et se retenait pour ne pas
éclater de rire.
Le pire fut quand elle me pria de venir avec elle dans
les herbes afin de me faire une démonstration. Mon visage devait passer par
toutes les teintes comprises entre le blanc blafard d’un cadavre et le rouge
d’un gros coup de soleil, un caméléon en aurait été jaloux. Je ne savais plus
quoi faire, si je décollais de mon poste, c’était foutu, les marques qui
dépassaient du short ne pouvaient pas passer inaperçues d’autant que ce fesseur
m’en avait flanqué une salée. J’ignorais ce que la dame en aurait réellement pensé,
mais pour moi il était certain que dans les tous prochains jours je faisais la
une des petits potins de la librairie et bien au-delà après. Peut-être même
aurait-elle laissé tomber les insectes et imprimer sa pellicule de mon portrait
postérieur pour présenter des preuves. Je me voyais déjà rentrer le dimanche
soir, vite emballer mes affaires et quitter clandestinement mon studio la nuit
pour ne plus jamais remettre les pieds dans ce quartier ou bien me pendre, avec
plus de trois mètres de plafond, il y avait largement de quoi. Solution
radicale, mais je préférais quand même qu’il en soit autrement. Il était donc
hors de question que je bouge d’un seul millimètre, je restais donc incurablement
le fessier plaqué à la carrosserie en secouant bêtement la tête de façon
négative malgré sa gentille insistance de m’initier quelques minutes à la macro.
Inutile de préciser que la dame commençait à s’étonner de mon attitude
empêtrée.
C’est mon fesseur qui m’a sauvé in-extremis de la pire dégringolade
dans le puits de la honte. A la fenêtre, il a dit à la dame que nous étions attendus
et donc que nous ne pouvions pas nous attarder.
Je ne sais pas ce que la veuve a spéculé, mais plus tard,
à chaque fois que je la croisais, me saluant, elle me gratifiait toujours d’un
petit sourire énigmatique un brin moqueur. Enfin moi je l’interprétais ainsi
parce que j’avais toujours un doute, peut-être qu’en fin de compte, ce n’était
rien d’autre qu’un sourire amical.
NOËL 1
Bientôt les petits chaussons au pied du sapin seront garnis en espérant pour toutes et tous que vos souhaits seront au rendez-vous.
Peter Pan m'a envoyé deux dessins de Noël, je le remercie de l'attention et sur ce post je les publie.
Nous ne sommes pas encore le 25 décembre, si d'aventure des artistes se sentent inspirés, je me ferai un plaisir d'ajouter à ce post leurs œuvres.
Peter Pan m'a envoyé deux dessins de Noël, je le remercie de l'attention et sur ce post je les publie.
Nous ne sommes pas encore le 25 décembre, si d'aventure des artistes se sentent inspirés, je me ferai un plaisir d'ajouter à ce post leurs œuvres.
Et voilà un envoie d'Ellie. Plein de bonne idées, à vous de bricoler maintenant en évitant de vous taper les doigts avec le marteau, ce n'est pas pratique de manger des huîtres avec une grosse poupée à la main.
Un autre dessin de Peter Pan
lundi 16 décembre 2013
PADDLE
Parmi les
nombreux instruments utilisés dans le fantasme de la fessée, il y a le Paddle
qui en traduction française veut dire « Rame »
Le nom donné
n’est pas un hasard car l’instrument ressemble à une petite rame et peut-être
même, à son origine, avant d’être réduite à un instrument de main, des fessées
furent administrées avec de vraies pagaies.
C’est
surtout aux états unis que le paddle fut utilisé pour la fessée domestique et
scolaire.
Pour ce qui
est du fantasme de la fessée entre adultes consentants, le paddle est un des accessoires
fantasmé et utilisé. L’objet peut être très simple, il est généralement en bois
façonné d’un manche prolongé d’une planchette un peu plus large d’une longueur variable.
L’instrument est parfois percé de trous pour une question d’aérodynamisme.
Comme tous les instruments relatifs aux fantasmes et au fétichisme, les
amatrices et amateurs en fabriquent de personnels en bois plus ou moins
précieux et en y ajoutant multiples décorations.
L’efficacité
de cet instrument est redoutable et il n’est point besoin d’user de force pour
que son impact soit douloureux. Au même titre que tous les instruments utilisé
pour la fessée, il est recommandé de s’en servir avec modération, car un paddle
manié avec vigueur peut faire très très mal et laisser ses empreintes sur la
peau pendant plusieurs jours voir jusqu’à deux semaines dans les cas de
sévérité excessive.
Comme les
limites sont différentes selon les individus c’est à chacune et chacun de
clairement les définir.
Ceci dit, si
l’instrument est employé de façon raisonnable en parfait accord avec les
souhaits des protagonistes, les amatrices et amateurs y trouvent du plaisir,
soit dans l’appréhension, soit dans l’application et c’est bien là le but
recherché.
mardi 10 décembre 2013
VHS-HS
VHS
Il y a peu j’ai retrouvé deux petites cassettes de film
au format mini DV. Elles avaient filmé quelques uns de mes jeux avec un
partenaire qui jouait le rôle de professeur d’Espagnol. Bien piètre élève que
je fus car de cette langue je n’ai rien mémorisée, mais qu’importe, c’était au
moins un bon prétexte pour que le professeur me punisse parce que tel était le
scénario de nos rencontres.
Parfois la caméra était posée sur un pied, d’autre fois
un témoin la tenait.
Aujourd’hui, petit
inconvénient de taille, je n’ai plus de caméra pour visionner ce genre de
cassettes car j’avais dans l’espoir d’en tirer quelques photos grâce à un
convertisseur branché sur mon ordinateur.
Un peu plus tard, un ami m’a prêté le matériel et j’ai pu
regarder les films. Déception, les cassettes sont restées longtemps dans une
boite dans un placard, les images ont perdues de la netteté et les couleurs ont
virées. J’ai tenté d’en extraire quelques vues, mais autant dire que ce n’est
pas très propre. Mon idée était d’illustrer sur le blog des fictions ou des
témoignages d’expériences, cela changerait un peu des dessins.
J’ai hésité avant de virer ces photos à la corbeille de
l’ordinateur, puis j’ai fini par les garder en argumentant qu’au moins, même de
mauvaise qualité, elles étaient un témoignage visuel authentique.
Un homme possédait également des films concernant mes
jeux, j’avais rencontré ce dernier au cours d’une petite fête organisé chez des
fesseurs. Cet homme, jeune à l’époque d’une quarantaine d’années, était grand
amateur de films, mais dédaignait, à part quelques uns, ceux du commerce. Il
préférait se régaler de scène qu’il savait parfaitement réelles, alors il
filmait pour son compte et m’avait demandé si cela me dérangeait pas, de temps
en temps, d’enregistrer mes fessées en m’assurant que ces films étaient pour sa
collection personnelle et en aucun cas seraient copiés, diffusés ou vendus. Cet
homme faisait partie d’un cercle de fesseurs dont certains étaient mes
partenaires et ceux là m’assuraient de son honnêteté.
Je dois avouer que l’idée d’être puni devant une caméra
m’excitait, comme d’ailleurs tout ce qu’on me proposait de nouveau, je donnais
donc mon accord.
Je me souviens de son imposante caméra où on introduisait
une grosse cassette VHS et de la batterie qu’il portait en bandoulière quand il
n’y avait pas de possibilité d’alimentation électrique directe. A l’époque ce
genre de matériel devait coûter un bras. Il fut présent assez souvent et quand
ils nous invitaient chez lui pour l’apéritif, il nous montrait ce qu’il avait
filmé. L’homme faisait un tri à l’aide un magnétoscope à double cassette, il
copiait sur la seconde bande vierge seulement les séquences qui
l’intéressaient. Il n’était ni fesseur ni fessé et prenait son plaisir qu’à
regarder des scènes de punitions en live ou à l’écran. Ses prises de vue était
cadrées serrées pour ne jamais apercevoir le visage du fesseur ou du fessé.
J’avais quelque part son numéro de téléphone, mais
fallait-il encore que je remue pas mal de mon bordel pour retrouver les vieux
carnets. En tout cas, cette recherche m’a permis de mettre un peu d’ordre
(provisoire) dans mon foutoir et j’ai fini par dénicher le numéro.
Le temps a passé depuis notre première rencontre qui doit
d’après mes calculs, se situer dans les années 1978 ou 79. Relation qui s’est
achevé en 1985.
Cet homme habitait-il au même endroit, n’avait-il pas
changé de numéro et était-il encore en vie ? La seule façon de le savoir
était de composer le numéro et c’est ce que j’ai fait. Une voix masculine a
répondu sans garantie que ce soit bien lui. Ne connaissant que son prénom, je
l’ai appelé ainsi. Il fut d’abord étonné et un peu distant et méfiant, mais
répondait par l’affirmative. Je me suis alors présenté en relatant quelques
souvenirs et lui communiquant la raison de mon appel.
Il y a quelques jours, sur une place devant le café tabac
d’une bourgade de banlieue, nous nous sommes retrouvés, l’homme avait beaucoup
vieillit et moi aussi d’un identique nombre d’années, parait que c’est logique…
Nous n’avons ni l’un ni l’autre longtemps hésité avant de formellement nous reconnaître.
Ouvrant le coffre de son automobile il m’a donné une
caisse en carton contenant huit cassettes de 120 minutes étiquetées des dates
correspondantes à nos rencontres de l’époque. Toutes les scènes n’étaient pas
avec moi et donc il me fallait trier, m’a-t-il prévenu. Il à ajouté que les
cassettes étaient vieilles et usées d’avoir été visionnées et que depuis des
années, elles étaient remisées dans sa cave.
Nous avons à une table longtemps discuté et surtout bien
rigolé en relatant quelques chauds souvenirs ou cocasses anecdotes.
Une fois de retour chez moi, j’ai branché mon vieux
magnétoscope sur le convertisseur et j’ai visionné les films. Pour reconnaître les extraits où je figurais, ce ne fut pas trop difficile, mais les images
étaient bien plus altérées que celles de mes cassettes mini DV.
Petit pincement au cœur de me voir à l’écran recevoir des
fessées en tout genre. Un replay poussiéreux qui m’entraînait vers des années
que je ne pourrai plus revivre, mais juste remiser un peu rafraîchies dans ma
petite bibliothèque secrète.
Au moment où j’écris ces lignes, je n’ai regardé que deux
cassettes et je ne sais ce que je vais pouvoir tirer de ces bandes, les
premiers essais sont plutôt médiocres voir désastreux. Les retouches avec un
logiciel ne donnent pas grand-chose si ce n’est parfois de faire pire que
l’original.
On verra ce qu’il en sera au final et si c’est vraiment
de trop mauvaise qualité, je reprends mon crayon et mes feutres pour illustrer
les fictions ou les récits de mes petites expériences.
Bon, qu’est-ce qu’il y a à la télé ce soir ?
mardi 3 décembre 2013
MANIERE DE... (1)
Si on met de
côté la fessée « Fast-food », il y a dans les relations et les jeux
de ce large fantasme plusieurs étapes ; au minimum : un avant, un
pendant et un après. Chacune et chacun aura ses préférences ou trouvera dans
telle ou telle autre étape des émotions plus fortes et des plaisirs plus
subtils. Aujourd’hui, je m’intéresse à l’avant fessée. Il est évident que dans
cet avant, il est de multiples passages et j’en ai choisi deux parmi tant d’autres.
Le carnet de
punition est un accessoire assez fréquent dans les relations de discipline
domestique et bien entendu, du même genre d’accessoire lorsqu’il s’agit d’un
carnet de notes dans les jeux dit « scolaires ».
Le carnet n’’est
juste qu’un contenant, mais c’est l’importance de ce qui est noté sur les pages
qui va engendrer punition ou pas.
Que l’échéance
soit inscrite sur un calendrier ou simplement que le carnet soit présenté à la
demande, définie un moment particulier.
L’instant où
le contenu est disséqué méticuleusement, commenté et agrémenté de remarques
plus où moins explicites, est un temps terriblement angoissant.
Rien n’est
laissé au hasard et il est peu probable d’échapper à la sanction. Comment l’esprit
imagine l’avenir, comment le corps frémis de crainte ou de désir, comment prétexter
mille excuses plus ou moins convaincantes ? C’est un moment de bascule ou rien n’est
certain pas plus qu’incertain… Punition il y aura, mais à quel niveau d’intensité ?
Contestation il y aura, mais y aura-t-il concertation ? Utilisera-t-elle
ou utilisera-t-il un instrument ? Va-t-elle ou va-t-il remettre à plus
tard la fessée méritée ?
Le doute est
bien la première réponse à toutes ces questions. On ne sait rien parce que la décision
n’est pas notre et c’est justement cette ignorance qui donne toute la dimension
de ce moment. Il y a dans ces minutes un trouble déconcertant, éprouvant, effrayant
et excitant. C’est quelque chose d’impalpable dont le bouillonnement intérieur
transperce à peine notre enveloppe. Il y a quelque chose de magique dans cet
espace temps qui ne peut être mesuré.
Il y a
aussi, parmi les étapes de l’avant fessée, celle où la sanction est établie,
mais son exécution promise plus tard à un moment déterminée. C’est terrible de
voir les aiguilles de la pendule lentement cliquer les secondes, les minutes et
les heures qui approchent chaque fois d’un peu l’échéance.
Terrible certes,
mais la fièvre, si elle flambe d’appréhension, elle est aussi perlée d’envie qui comme la marée, va et vient
selon l’émotion qui prend le dessus. Méthode machiavélique qui donne le temps
aux sentiments contradictoires de tourbillonner dans la tête sans trouver de
terminus. C’est du longuement mijoté pour que le goût du plaisir assaisonne
lentement la sauce.
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