Bonjour ou bonsoir.



MON PETIT PLACARD SECRET
. Depuis un bon moment j'avais envie de montrer mes petits dessins et montages imaginés depuis les plus profondes cases excitées et hallucinées de mon esprit. Fantasme avec ou sans "S", selon comme ça vient me titiller... La fessée et quelques de ses multiples satellites en sont les thèmes principaux.

J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !

Petits trucs



A droite j'ai placé une
TABLE DES
MATIÈRES, elle vous permet de choisir des thèmes à visiter selon vos préférences.


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samedi 21 décembre 2013

DÉBOIRE AVEC MODÉRATION (1)

On raconte toujours le meilleur de nos expériences et pourtant elles ne sont qu’une part du gâteau plus ou moins importante selon les personnes. Pour celles et ceux qui sont en couple et qui vivent ensemble le fantasme, ou celle est ceux qui ont une ou un partenaire régulier, il est évidents que les déboires sont limités, mais pour qui butine de fleurs en fleurs, il y a parfois des plantes qui n’ont pas le parfum de leur parure, qui ont des épines à leur tige ou des carnivores qui vous vous mordent.
Le genre « Déboires » est vaste. Les plus effrayants, lorsqu’on tombe sur des prédateurs ou des irresponsables. Les fâcheux pour les rendez-vous où les protagonistes ne s’accordent pas. Les frustrants quand les fessées sont ratées, décevantes ou sans saveur. Les agaçants quand les lapins se succèdent où qu’il y a tromperie sur le sexe, mais il y a aussi, les moments embarrassants, inattendus, angoissants qui après coup deviennent une risible anecdote.
Justement, question situations loufoques et inopinées, j’en ai quelques unes.

De connaissances en connaissances, je rencontrais dans le milieu de la fessée assez de monde ce qui me permettait d’être rarement en panne. Je ne me fidélisais nullement, j’allais suivant les propositions et mes envies.

C’était dans les années 1982 et 83, j’avais 27 et 28 ans. Un des fesseurs que je rencontrais épisodiquement, habitait dans une région pétillante à deux heures de la capitale. Quand je me déplaçais, c’était pour un week-end.
Il y avait un truc que j’adorais quand il faisait beau ; l’homme m’emmenait par des routes traversant les vignobles dans un petit coin tranquille pour m’administrer une fessée en plein air. Bien entendu, je portais un petit short qui était pour lui comme pour moi la tenue de circonstance. J’ai toujours, certainement par souvenirs et par fétichisme, associé short ou culottes courtes à la fessée.
Mon fesseur garait l’automobile sur un bas coté de la route et par un tracé peu emprunté, nous marchions une quarantaine de minutes jusqu’en haut d’une colline qui offrait en son point culminant un joli panorama sur la campagne et les vignobles. Là-haut se trouvais un gros bosquet d’arbres et puisque je n’étais pas le premier qu’il conduisait en ces lieux pour une fessée, l’homme laissait sur place un tabouret en fer dont les multiples couches de peinture avaient rendu boudiné l’assise et les pieds.
C’était très excitant de marcher vers cet endroit sachant ce qui m’attendait une fois arrivé. Chemin faisant il ne cessait de me titiller par des « Avances plus vite ! » « Tu vas voir ce que tu vas prendre ! » etc.
Question fessée, l’homme était plutôt rude, de me provoquer et m’exciter ainsi me faisait bouillir et m’impatienter de la vigoureuse fessée qu’il me flanquait cul nu en pleine nature. Je peux vous dire que quand on redescendait de la colline, j’avais les fesses piquantes et bien rouges. Rien à redire, quand la fessée était bien préparée, la sévérité me procurait beaucoup de plaisir jusque parfois en jouir.



C’est justement un jour lorsque nous arrivions à la voiture qu’une autre s’est stationnée juste derrière. Rien de bien grave, il me fallait vite m’installer et nous aurions démarré sans même apercevoir le visage de l’autre conducteur.
Mais voilà, tout ne se passe pas comme on l’imagine, car la femme sortant de ce véhicule ne m’était pas du tout une inconnue et m’interpellait. On entend dire souvent que le monde est petit, je l’affirme, il l’est !
Cette dame n’était rien d’autre qu’une proche voisine de la rue où j’habitais. Une veuve très alerte la soixantaine bien tassée que je rencontrais souvent chez la libraire et qui discutait de littérature avec la commerçante et quelques femmes amies, mais les bavardages ne concernaient pas seulement les belles lettres, tous les petits potins étaient également au menu.
Que faisait-elle aussi loin de chez elle ? Elle aurait d’ailleurs pu me poser la même question.
Cette dame était une photographe amatrice et plus précisément dans la macro pour photographier des insectes. D’accord c’est chouette la macro, mais les insectes de la région ne devaient pas être plus intéressants qu’ailleurs, alors pourquoi avait-elle choisi de venir ici ? Moi j’avais une bonne excuse, c’est quand même plus difficile de quêter des fessées que des insectes qui eux, pullulent dans n’importe quel jardin, même ceux de la région Parisienne.
 En tant ordinaire, cette rencontre n’aurait été qu’une agréable ou banale formalité, mais en ce jour, c’était bien différent car le petit short de sport très vintage que je portais était certes sexy, mais très court et ne dissimulait évidement pas toutes les rougeurs de la fessée récemment reçue. A l’arrière, le plus haut de mes cuisses présentait des traces bien visibles et si explicites qu’elles ne pouvaient laisser de doute sur leur provenance.
Pas le temps d’ouvrir la portière, de m’asseoir puis de refermer à son nez. De toute façon cela aurait été pure impolitesse et pas forcement une bonne stratégie. Je me suis collée les fesses sur l’aille de la voiture, j’ai placé mes mains de chaque côté pour camoufler au mieux. J’avais le visage incendié et cela devait se voir.
J’espérais un rapide échange de « bonjour » et quelques banalités sur le beau temps ; que non, la dame très contente de rencontrer un voisin, commençait à me déballer son matériel photographique et m’expliquer la technique de la macro, me montrait son dernier flash annulaire et ses objectifs spéciaux. Moi je restais collé à l’aile de la voiture en hochant la tête faussement admiratif. Mon fesseur qui s’était installé au volant, était spectateur privilégié de mon embarras et se retenait pour ne pas éclater de rire.
Le pire fut quand elle me pria de venir avec elle dans les herbes afin de me faire une démonstration. Mon visage devait passer par toutes les teintes comprises entre le blanc blafard d’un cadavre et le rouge d’un gros coup de soleil, un caméléon en aurait été jaloux. Je ne savais plus quoi faire, si je décollais de mon poste, c’était foutu, les marques qui dépassaient du short ne pouvaient pas passer inaperçues d’autant que ce fesseur m’en avait flanqué une salée. J’ignorais ce que la dame en aurait réellement pensé, mais pour moi il était certain que dans les tous prochains jours je faisais la une des petits potins de la librairie et bien au-delà après. Peut-être même aurait-elle laissé tomber les insectes et imprimer sa pellicule de mon portrait postérieur pour présenter des preuves. Je me voyais déjà rentrer le dimanche soir, vite emballer mes affaires et quitter clandestinement mon studio la nuit pour ne plus jamais remettre les pieds dans ce quartier ou bien me pendre, avec plus de trois mètres de plafond, il y avait largement de quoi. Solution radicale, mais je préférais quand même qu’il en soit autrement. Il était donc hors de question que je bouge d’un seul millimètre, je restais donc incurablement le fessier plaqué à la carrosserie en secouant bêtement la tête de façon négative malgré sa gentille insistance de m’initier quelques minutes à la macro. Inutile de préciser que la dame commençait à s’étonner de mon attitude empêtrée.



 C’est mon fesseur qui m’a sauvé in-extremis de la pire dégringolade dans le puits de la honte. A la fenêtre, il a dit à la dame que nous étions attendus et donc que nous ne pouvions pas nous attarder.


Je ne sais pas ce que la veuve a spéculé, mais plus tard, à chaque fois que je la croisais, me saluant, elle me gratifiait toujours d’un petit sourire énigmatique un brin moqueur. Enfin moi je l’interprétais ainsi parce que j’avais toujours un doute, peut-être qu’en fin de compte, ce n’était rien d’autre qu’un sourire amical.

NOËL 1

Bientôt les petits chaussons au pied du sapin seront garnis en espérant pour toutes et tous que vos souhaits seront au rendez-vous.

Peter Pan m'a envoyé deux dessins de Noël, je le remercie de l'attention et sur ce post je les  publie.

Nous ne sommes pas encore le 25 décembre, si d'aventure des artistes se sentent inspirés, je me ferai un plaisir d'ajouter à ce post leurs œuvres.






Et voilà un envoie d'Ellie. Plein de bonne idées, à vous de bricoler maintenant en évitant de vous taper les doigts avec le marteau, ce n'est pas pratique de manger des huîtres avec une grosse poupée à la main.



Un autre dessin de Peter Pan








lundi 16 décembre 2013

PADDLE

Parmi les nombreux instruments utilisés dans le fantasme de la fessée, il y a le Paddle qui en traduction française veut dire « Rame »
Le nom donné n’est pas un hasard car l’instrument ressemble à une petite rame et peut-être même, à son origine, avant d’être réduite à un instrument de main, des fessées furent administrées avec de vraies pagaies.

C’est surtout aux états unis que le paddle fut utilisé pour la fessée domestique et scolaire.



Pour ce qui est du fantasme de la fessée entre adultes consentants, le paddle est un des accessoires fantasmé et utilisé. L’objet peut être très simple, il est généralement en bois façonné d’un manche prolongé d’une planchette un peu plus large d’une longueur variable.




 L’instrument est parfois percé de trous pour une question d’aérodynamisme. 




Comme tous les instruments relatifs aux fantasmes et au fétichisme, les amatrices et amateurs en fabriquent de personnels en bois plus ou moins précieux et en y ajoutant multiples décorations.





L’efficacité de cet instrument est redoutable et il n’est point besoin d’user de force pour que son impact soit douloureux. Au même titre que tous les instruments utilisé pour la fessée, il est recommandé de s’en servir avec modération, car un paddle manié avec vigueur peut faire très très mal et laisser ses empreintes sur la peau pendant plusieurs jours voir jusqu’à deux semaines dans les cas de sévérité excessive.

Comme les limites sont différentes selon les individus c’est à chacune et chacun de clairement les définir.




Ceci dit, si l’instrument est employé de façon raisonnable en parfait accord avec les souhaits des protagonistes, les amatrices et amateurs y trouvent du plaisir, soit dans l’appréhension, soit dans l’application et c’est bien là le but recherché.

mardi 10 décembre 2013

VHS-HS

VHS

Il y a peu j’ai retrouvé deux petites cassettes de film au format mini DV. Elles avaient filmé quelques uns de mes jeux avec un partenaire qui jouait le rôle de professeur d’Espagnol. Bien piètre élève que je fus car de cette langue je n’ai rien mémorisée, mais qu’importe, c’était au moins un bon prétexte pour que le professeur me punisse parce que tel était le scénario de nos rencontres.
Parfois la caméra était posée sur un pied, d’autre fois un témoin la tenait.
Aujourd’hui,  petit inconvénient de taille, je n’ai plus de caméra pour visionner ce genre de cassettes car j’avais dans l’espoir d’en tirer quelques photos grâce à un convertisseur branché sur mon ordinateur.
Un peu plus tard, un ami m’a prêté le matériel et j’ai pu regarder les films. Déception, les cassettes sont restées longtemps dans une boite dans un placard, les images ont perdues de la netteté et les couleurs ont virées. J’ai tenté d’en extraire quelques vues, mais autant dire que ce n’est pas très propre. Mon idée était d’illustrer sur le blog des fictions ou des témoignages d’expériences, cela changerait un peu des dessins.




J’ai hésité avant de virer ces photos à la corbeille de l’ordinateur, puis j’ai fini par les garder en argumentant qu’au moins, même de mauvaise qualité, elles étaient un témoignage visuel authentique.

Un homme possédait également des films concernant mes jeux, j’avais rencontré ce dernier au cours d’une petite fête organisé chez des fesseurs. Cet homme, jeune à l’époque d’une quarantaine d’années, était grand amateur de films, mais dédaignait, à part quelques uns, ceux du commerce. Il préférait se régaler de scène qu’il savait parfaitement réelles, alors il filmait pour son compte et m’avait demandé si cela me dérangeait pas, de temps en temps, d’enregistrer mes fessées en m’assurant que ces films étaient pour sa collection personnelle et en aucun cas seraient copiés, diffusés ou vendus. Cet homme faisait partie d’un cercle de fesseurs dont certains étaient mes partenaires et ceux là m’assuraient de son honnêteté.

Je dois avouer que l’idée d’être puni devant une caméra m’excitait, comme d’ailleurs tout ce qu’on me proposait de nouveau, je donnais donc mon accord.
Je me souviens de son imposante caméra où on introduisait une grosse cassette VHS et de la batterie qu’il portait en bandoulière quand il n’y avait pas de possibilité d’alimentation électrique directe. A l’époque ce genre de matériel devait coûter un bras. Il fut présent assez souvent et quand ils nous invitaient chez lui pour l’apéritif, il nous montrait ce qu’il avait filmé. L’homme faisait un tri à l’aide un magnétoscope à double cassette, il copiait sur la seconde bande vierge seulement les séquences qui l’intéressaient. Il n’était ni fesseur ni fessé et prenait son plaisir qu’à regarder des scènes de punitions en live ou à l’écran. Ses prises de vue était cadrées serrées pour ne jamais apercevoir le visage du fesseur ou du fessé.




J’avais quelque part son numéro de téléphone, mais fallait-il encore que je remue pas mal de mon bordel pour retrouver les vieux carnets. En tout cas, cette recherche m’a permis de mettre un peu d’ordre (provisoire) dans mon foutoir et j’ai fini par dénicher le numéro.
Le temps a passé depuis notre première rencontre qui doit d’après mes calculs, se situer dans les années 1978 ou 79. Relation qui s’est achevé en 1985.
Cet homme habitait-il au même endroit, n’avait-il pas changé de numéro et était-il encore en vie ? La seule façon de le savoir était de composer le numéro et c’est ce que j’ai fait. Une voix masculine a répondu sans garantie que ce soit bien lui. Ne connaissant que son prénom, je l’ai appelé ainsi. Il fut d’abord étonné et un peu distant et méfiant, mais répondait par l’affirmative. Je me suis alors présenté en relatant quelques souvenirs et lui communiquant la raison de mon appel.
Il y a quelques jours, sur une place devant le café tabac d’une bourgade de banlieue, nous nous sommes retrouvés, l’homme avait beaucoup vieillit et moi aussi d’un identique nombre d’années, parait que c’est logique… Nous n’avons ni l’un ni l’autre longtemps hésité avant de formellement nous reconnaître.




Ouvrant le coffre de son automobile il m’a donné une caisse en carton contenant huit cassettes de 120 minutes étiquetées des dates correspondantes à nos rencontres de l’époque. Toutes les scènes n’étaient pas avec moi et donc il me fallait trier, m’a-t-il prévenu. Il à ajouté que les cassettes étaient vieilles et usées d’avoir été visionnées et que depuis des années, elles étaient remisées dans sa cave.
Nous avons à une table longtemps discuté et surtout bien rigolé en relatant quelques chauds souvenirs ou cocasses anecdotes.

Une fois de retour chez moi, j’ai branché mon vieux magnétoscope sur le convertisseur et j’ai visionné les films. Pour reconnaître les extraits où je figurais, ce ne fut pas trop difficile, mais les images étaient bien plus altérées que celles de mes cassettes mini DV.
Petit pincement au cœur de me voir à l’écran recevoir des fessées en tout genre. Un replay poussiéreux qui m’entraînait vers des années que je ne pourrai plus revivre, mais juste remiser un peu rafraîchies dans ma petite bibliothèque secrète.




Au moment où j’écris ces lignes, je n’ai regardé que deux cassettes et je ne sais ce que je vais pouvoir tirer de ces bandes, les premiers essais sont plutôt médiocres voir désastreux. Les retouches avec un logiciel ne donnent pas grand-chose si ce n’est parfois de faire pire que l’original.
On verra ce qu’il en sera au final et si c’est vraiment de trop mauvaise qualité, je reprends mon crayon et mes feutres pour illustrer les fictions ou les récits de mes petites expériences.


Bon, qu’est-ce qu’il y a à la télé ce soir ?

mardi 3 décembre 2013

MANIERE DE... (1)

Si on met de côté la fessée « Fast-food », il y a dans les relations et les jeux de ce large fantasme plusieurs étapes ; au minimum : un avant, un pendant et un après. Chacune et chacun aura ses préférences ou trouvera dans telle ou telle autre étape des émotions plus fortes et des plaisirs plus subtils. Aujourd’hui, je m’intéresse à l’avant fessée. Il est évident que dans cet avant, il est de multiples passages et j’en ai choisi deux parmi tant d’autres.

Le carnet de punition est un accessoire assez fréquent dans les relations de discipline domestique et bien entendu, du même genre d’accessoire lorsqu’il s’agit d’un carnet de notes dans les jeux dit « scolaires ».

Le carnet n’’est juste qu’un contenant, mais c’est l’importance de ce qui est noté sur les pages qui va engendrer punition ou pas.
Que l’échéance soit inscrite sur un calendrier ou simplement que le carnet soit présenté à la demande, définie un moment particulier.
L’instant où le contenu est disséqué méticuleusement, commenté et agrémenté de remarques plus où moins explicites, est un temps terriblement angoissant.
Rien n’est laissé au hasard et il est peu probable d’échapper à la sanction. Comment l’esprit imagine l’avenir, comment le corps frémis de crainte ou de désir, comment prétexter mille excuses plus ou moins convaincantes ?  C’est un moment de bascule ou rien n’est certain pas plus qu’incertain… Punition il y aura, mais à quel niveau d’intensité ? Contestation il y aura, mais y aura-t-il concertation ? Utilisera-t-elle ou utilisera-t-il un instrument ? Va-t-elle ou va-t-il remettre à plus tard la fessée méritée ?



Le doute est bien la première réponse à toutes ces questions. On ne sait rien parce que la décision n’est pas notre et c’est justement cette ignorance qui donne toute la dimension de ce moment. Il y a dans ces minutes un trouble déconcertant, éprouvant, effrayant et excitant. C’est quelque chose d’impalpable dont le bouillonnement intérieur transperce à peine notre enveloppe. Il y a quelque chose de magique dans cet espace temps qui ne peut être mesuré.







Il y a aussi, parmi les étapes de l’avant fessée, celle où la sanction est établie, mais son exécution promise plus tard à un moment déterminée. C’est terrible de voir les aiguilles de la pendule lentement cliquer les secondes, les minutes et les heures qui approchent chaque fois d’un peu l’échéance.




Terrible certes, mais la fièvre, si elle flambe d’appréhension, elle est aussi  perlée d’envie qui comme la marée, va et vient selon l’émotion qui prend le dessus. Méthode machiavélique qui donne le temps aux sentiments contradictoires de tourbillonner dans la tête sans trouver de terminus. C’est du longuement mijoté pour que le goût du plaisir assaisonne lentement la sauce.