Bonjour ou bonsoir.



MON PETIT PLACARD SECRET
. Depuis un bon moment j'avais envie de montrer mes petits dessins et montages imaginés depuis les plus profondes cases excitées et hallucinées de mon esprit. Fantasme avec ou sans "S", selon comme ça vient me titiller... La fessée et quelques de ses multiples satellites en sont les thèmes principaux.

J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !

Petits trucs



A droite j'ai placé une
TABLE DES
MATIÈRES, elle vous permet de choisir des thèmes à visiter selon vos préférences.


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lundi 27 janvier 2014

DÉBOIRE AVEC MODÉRATION 2

Potager.

Je vous avais relaté ma première vraie rencontre fessée dans la rubrique « Il était une fois » dont le récit s’intitulait « Merci Madame »
Cette dame pleine d’autorité et de prévenance pour le débutant que j’étais n’avait pas trouvé en moi le sujet idéal et elle ne s’en était jamais cachée. Ce n’est évident pour personne de dénicher le partenaire parfait qui virevolte dans vos fantasmes songes.
Avec cette Dame, nous nous sommes rencontrés pour jouer à trois reprises. A la fin de notre dernier rendez-vous, elle m’avoua avoir découvert un homme qui s’accordait mieux. Inutile de vous préciser que malgré avoir passé un excellent moment avec elle, cette révélation de dernière minute m’a fichu un sacré coup derrière les étiquettes. Ce soir là, j’en étais à deux doigts de pleurer. Imaginez pour moi la déception ; cette Dame était la première qui m’initiait à la discipline, dite domestique, avec passion. Avec elle j’avais découvert une félicité jamais égalée, du moins jusqu’à ce jour là. Je ressentais amèrement en cet instant que la fessée était aussi un acte d’amour et qu’il faisait mal quand il y avait rupture.
Triste, très triste, révolté je l’étais, mais la Dame n’était pas du genre à me flanquer à la porte comme un chien galeux et proposait de m’offrir d’autres contacts et de s’occuper elle-même de m’y introduire avec, en quelque sorte, la publicité qui convenait.
Plus tard, j’ai rencontré l’homme qui m’avait remplacé, il était plus âgé que moi, mais entretenait un look juvénile qui forçait l’admiration. L’avantage qu’il soit légèrement plus petit que la Dame était sans nul doute l’atout majeur et il était évident qu’elle s’accordait mieux dans son fantasme de mère sévère avec un homme ne la surpassant pas qu’avec un grand d’un mètre quatre-vingt-cinq qui la dépassait d’au moins vingt centimètres.

Donc cette Dame m’introduisit dans le cercle de ses connaissances fessophiles qui étaient tous des hommes. Cela ne me dérangeait pas et elle le savait. J’avais de quoi me déplacer individuellement et les kilomètres ne me faisaient pas peur.

Je ne me suis pas vraiment entendu avec le premier, un homme de la banlieue nord qui était plus attiré vers le BDSM ; chaines, cuirs croix de st André etc. A l’époque je n’étais pas prêt pour ce genre de jeu qui me procurera de très fortes émotions quelques années plus tard. Je fus donc redirigé vers deux frères maraîchers surnommés « les jumeaux »  alors qu’ils ne l’étaient pas. Ce surnom venait d’une très grande ressemblance et il est vrai qu’ils avaient moins de deux ans d’écart. Avec eux je retrouvais avec délice le jeu des gendarmes et du voleur.
Les deux frères possédaient une grande propriété en deux parcelles, la première était une fermette entouré d’un immense jardin potager cerné de hauts murs hérissés de tessons de bouteilles et la seconde, de l’autre côté de l’impasse, qui était un grand champ de culture non clôturé. Après les avoir rencontrés en terrain neutre et avoir discuté avec eux du contenu des jeux, j’acceptais jovialement et d’avance excité d’y participer.
Nous nous donnions rendez-vous à une heure précise, le matin, généralement le dimanche car l’exploitation était fermée et il n’y avait pas de vente aux particuliers. Je venais, je garais mon véhicule au fond de l’impasse et je m’introduisais dans la propriété par la petite porte de côté qu’ils déverrouillaient pour l’occasion. Derrière cette porte, ils me laissaient la clef accrochée à un vieux piton rouillé planté dans le mur afin que je puisse refermer derrière moi. Pour mon intrusion, leur berger allemand était enfermé, précaution car l’animal était le gardien de l’espace et m’aurait évidement croqué. Une fois en compagnie des deux frères, il était libéré, je n’avais plus rien à craindre, le chien me considérait comme un invité.
Je ne leur avais pas caché mes goûts question vestimentaire en ce qui concernait mon fantasme et ils ne m’avaient pas non plus dissimulé que cela leur convenait très bien. Un peu plus loin sur la droite il y avait une remise où étaient rangés quelques outils, une vieille meule à eau et un gros établi. C’est là que je me changeais en garnement voleur. Dans cette remise il y avait aussi un gros panier en osier qui m’était réservé pour accomplir mon forfait.
Je parcourais les allées en me planquant du mieux que je pouvais et cueillait ce qui m’intéressait, pour cause, je repartais chez moi avec mon larcin chaudement payé et souvent un supplément de marchandise gracieusement offert. Ce fut une époque où je n’achetais jamais de légumes jusqu’à en avoir trop et parfois en donner à mes amis. Quand il y avait des fraises, mmmmm, je me régalais.



Les deux frères étaient en embuscade et attendaient que mon panier soit bien rempli avant de me mettre le grappin dessus.
S’en suivait les menaces d’appeler la maréchaussée ou de faire sortir le chien, je répondais par des supplications de ne pas être confronté à la police et encore moins au chien et la transaction s’achevait par le logique choix d’être puni par les propriétaires. C’est somme doute assez classique, voir banal comme scénario, mais ça m’amusait énormément.
Ils ne manquaient pas d’imaginations les deux frangins pour me châtier jusqu’en fin d’après midi, mais cela fera l’objet d’un autre récit. Pour le moment restons sur l’intitulé du post qui est « Déboires avec modération »
Un jour, près avoir reçu une bonne fessée et ramassé les petits tas de cailloux au coin des plantations pour les jeter au fond sur le gros tas ou en remettre dans les allées aux endroit où ils y avait des manques. Les deux frères m’ont mis tout nu, m’ont couvert la tête du chapeau de paille et m’ont attaché sur le té pour que je joue l’épouvantail. Inutile de résister, les bonshommes malgré l’approche de la soixantaine, étaient de solides gaillards pétants la forme. On ne peut pas vraiment dire que c’était inconfortable car mes pieds reposaient sur un large taquet d’une vingtaine de centimètre au dessus de la terre. Ce n’était pas la première fois que j’étais ainsi utilisé. C’était excitant, certes, mais c’était également angoissant, ce qui n’est pas forcément en opposition. Les murs étaient hauts et personne de censé n’aurait eut l’idée d’escalader pour jeter un œil dans la propriété au risque de gravement se lacérer sur les tessons de bouteilles. Cependant, restait l’option de l’échelle ou d’un barjo et cela m’effrayait. Rendez vous compte, un jeune homme nu attaché avec pour unique reliure qu’un chapeau de paille et quelquefois un parasol quand il y avait beaucoup de soleil. Question de me filer la honte, je décrochais le pompon rouge et très très rouge même. Si je pouvais éventuellement être une curiosité risible, je ne constituais pas un épouvantail efficace car les oiseaux n’en tenaient guère compte ; le chien était nettement plus convaincant.
La première anecdote, fut quand un couple ami des frangins est passé un dimanche pour querir quelques tomates, de la salade et autres légumineux. Cette visite n’était pas prévue et donc, pas le temps pour les frères de me détacher et de me planquer dans l’atelier ou la remise. Dans l’empressement l’un m’avait couvert d’un vieil imperméable en toile huilé qu’il avait juste rapidement boutonné de deux boutons par devant en m’adjurant de ne pas bouger, de ne pas tousser, de baisser la tête pour que le chapeau camoufle mon visage bref, de faire vraiment l’épouvantail. Un rôle de composition dont je me serait bien passé. Composition qui me décomposait…. Heureusement que j’étais dans la partie du terrain qui venait d’être retournée et donc vierge de toute plantation.
C’est quand même étrange, c’est quand justement il faut être incolore et inodore que la gorge vous irrite, que vous avez envie de renifler, d’éternuer, que le nez vous gratte et que toutes les mouches et autres insectes volants pas toujours rassurants se donnent rendez-vous pour vous agacer. Le supplice devient infernal et il ne reste juste que la prière pour que la cueillette s’achève le plus rapidement possible avant d’être pris d’une crise de toux ou de nerf.
Je ne vous raconte pas le grand moment de solitude et d’inquiétude que j’ai vécu. Ces gens faisaient le ramassage à pas plus de cinquante mètres de moi. En plus, j’avais la trouille que l’imperméable posé à la hâte glisse et tombe au sol. Par bonheur, rien de fâcheux ne s’est produit et une fois le couple parti, les deux frères sont venus me libérer en se bidonnant.

Seconde anecdote avec la même punition. Point de visiteur mais juste que j’ai senti le T lentement, par petits à-coups se pencher vers l’allée, la terre sans doute trop humide ne retenait plus le poids de l’ensemble. Les deux frères étaient dans leur atelier en train de boire un coup et de cet endroit sur le côté de la grange ils ne pouvaient me voir. Je ne voulais pas crier, on ne sait jamais, peut-être m’entendrait-on de la route ; ce n’est pas qu’elle était très fréquentée par des promeneurs à pied, mais je préférais ne pas courir ce risque. J’essayais de ne pas bouger, mais le gros piquet, millimètre par millimètre continuait de pencher et je n’ignorais pas qu’arrivé à un certain angle il se coucherait d’un coup. Je me voyais déjà le visage projeté dans les cailloux de l’allée, les rotules ou les cotes cognant et se fracturant contre les bordures de ciment. Inutile de vous préciser que cette perspective ne me faisait pas bander du tout. Aucun doute là-dessus, quand le piquet allait verser j’allais me faire très mal. Pour la suite, je m’imaginais aux urgences de l’hosto avec le médecin et les infirmières me demandant sarcastiquement comment j’avais fait mon compte et d’où venaient les marques sur mes fesses, résultat de la fessée bien pesée que j’avais reçu avant de jouer l’épouvantail.
Sérieux je commençais à paniquer. Le chien reniflait la terre un peu plus loin, je le sifflais et il s’approcha tout guilleret. Un berger allemand bien dressé, normalement ça possède un peu de jugeote alors, yeux dans les yeux :

- Va chercher tes maîtres, va ! Va chercher !

Quel soulagement quand je l’ai vu détaler en direction de la grange. Quel déception quand il est revenu en déposant au pied du T sa vieille savate croyant que je voulais jouer avec lui. Il s’est posé sur son cul et par intervalles me regardait dans les yeux et surveillait sa savate au cas où par miracle je me serais détaché tout seul et que je lui aurais chipé pour la balancer. Je me calme et recommence à lui demander d’aller chercher ses maîtres.



 Il repart en courant, mais cette fois pas du tout en direction de la grange et me rapporte son ballon de cuir tout crevé, qu’il dépose tout ravi au pied du T qui poursuit par petites touches sa menaçante progression. Là je craque, le chien en à pris pour son grade, tout ce que je connaissais comme insultes il y a eut droit et par bonheur, il s’est mis à tourner autour de ma personne en aboyant joyeusement ce qui à immanquablement fait sortir les frangins. Je ne sais pas combien de temps aurait-il fallu au T pour atteindre l’angle critique mais pour moi il était moins une quand je fus délivré. Alors dans le même cas, ne tentez pas de donner des ordres à un chien, insultez-le, il comprendra.

Par la suite, les deux frères m’ont flanqué une fessée histoire de m’apprendre à ne pas détériorer le matériel et ceinture en main, m’ont fait remettre le T droit et consolider le scellement en le calant avec de grosses pierres enfoncées à coups de massette. 



Une fois les travaux achevés, je fus rattaché au T pour une autre séance d’épouvantail. On ne plaisante pas avec les voleurs de légumes !

lundi 20 janvier 2014

LE MARTINET



Le martinet est un instrument de flagellation qui dans le fantasme de la fessée est souvent cité comme une des références. Il est très fréquemment utilisé dans les jeux de fessées.
Objet culte jusqu’au fétichisme, il est restauré collectionné et exposé. Il est également fabriqué tel un objet d’art par des amateurs.


Voila un bel exemple de martinet fabriqué artisanalement. Ce martinet griffé W est magnifique et dénote le soin apporté par l'artiste pour que l'instrument soit beau, original, unique et, ne point en douter, efficace. (document Waldo )




On peut bien entendu revisiter les manches de martinet à l'infini.


Adoré, idolâtré, redouté, convoité, jalousé, désiré ou jouissif, les adjectifs ne manquent pas à l’instrument dans le petit monde de la fessée entre adultes consentants.





Les martinets dit "de bazar" vendus aujourd'hui dans les rayons animalerie. ( Document : lemartinet.canalblog )



A celles et ceux adeptes, on peut aisément penser que les souvenirs d’enfance, (pour les plus de 40 ans) qu’ils soient physiques ou visuels, ont été le fertile terreau de leur fantasme. Il est vrai que le martinet fut un instrument de discipline ouvertement employé dans les années 1940, 1950,1960 puis petit à petit délaissé.Pour les plus jeunes, il faut croire que les récits et les images ont eut le même effet.

De toute manière, le martinet reste un instrument fascinant qui ne laisse personne indifférent.

Qu’elles sont les origines de cet instrument ?

Pas facile de s’y retrouver, mais apparemment, tout le monde semble d’accord pour attribuer sa paternité dans la forme actuelle aux Français.

Essayons de démêler l’historique.

Les avis divergent, certains affirment que le martinet à multiple lanières de cuir serait un dérivé de la Garcette ou du chat à neuf queues utilisés dans les marines royales et impériales. Dans la piraterie également certains otages en auraient fait la douloureuse expérience. D’autres émettent que le fouet à plusieurs lanières fut inventé pour remplacer les instruments à unique lanières causant de graves blessures et pouvant même tuer. 



Chat à neuf queues ( document jbwhips.com )







Au début du christianisme, certains croyants pour pénitence s’auto flagellaient avec des fouets à plusieurs branches en corde ou en cuir qui peuvent également prétendre être une des origines du martinet. 


Instrument utilisé pour l'autoflagellation. 



On peut aussi remarquer que le fléau tenu par cette déesse Égyptienne n’est pas sans rappeler le martinet. Chacun se fera une opinion puisque toutes ces hypothèses sont plausibles.



Il existe aussi une origine controversée en ce qui concerne l’appellation « Martinet » et je dois dire que je suis moi-même très septique. Pour les Anglais, parait-il que « Martinet » signifie quelqu’un de très sévère en matière de discipline. Ce terme serait issu du nom de Jean Martinet, inspecteur général de l’infanterie de Louis XIV. Cet homme était parait-il un vrai tortionnaire avec les hommes de troupe. J’ai ouvert mes vieux dictionnaires papier et je n’ai pas trouvé de Jean Martinet. Un petit passage sur le net et j’apprends sur  fr. lettres. langue. française. narkive. com, qu’il serait possible que ce soit une pure invention de certains Anglais pour alimenter une hostilité à l’égard des Froggies. Petits farceurs !


Avançons de quelques siècles pour nous arrêter à la première guerre mondiale (1914-1918)
Le martinet faisait partie du paquetage des soldats. L’instrument n’était pas une arme pour prendre d’assaut les tranchés ni pour fouetter les prisonniers. Dommage d’ailleurs, il y aurait certainement eut moins de mort et les statues des monuments auraient été plus marrantes.
 Le martinet était un ustensile de nettoyage et d’entretien qui servait à ôter la poussière et la boue des vêtements et surtout des capotes. Ce qui est flagrant (photo ci-dessous) c’est que cet outil n’est plus un dérivé ou une modification d’un autre instrument, mais bel et bien le martinet  définitivement abouti.


Martinet du paquetage portant le matricule du soldat. 
( document bleuhorizon.canalblog.com )


Sans doute qu’après l’armistice, un grand nombre de survivants de cette boucherie ont ramené l’instrument chez eux comme souvenir. Dans mes recherches je n’ai pas trouvé qu’il fut utilisé pour châtier les garnements dans les années suivantes. Son usage disciplinaire dans le milieu scolaire et domestique apparaît vers la fin des années 1930. Il ne serait pas irréaliste de penser que ce souvenir de la grande guerre fut le déclencheur de cette méthode punitive.


( document gastonfaitpuces.com )


Le martinet présenté sur la photo ci dessus, ressemble étrangement au premier que j’ai connu dans mon enfance, époque ou je maudissais les culottes courtes.

Ce qui ne sera plus le cas plus tard





Aujourd’hui, parait-il en raison d’une jurisprudence de 1984 considérant le martinet comme instrument de discipline hors la loi, sa vente n’est autorisée que dans les rayons animalerie pour un usage envers de pauvres bêtes récalcitrantes où dans les sex-shops pour un usage érotique. Si l’interdiction de frapper les enfants avec cet instrument est justifiée, pour le reste, on ne peut qu’en rire tellement l’hypocrisie est flagrante.





Beaucoup de monde à entendu parler de cette petite fabrique de martinets dans le Morvan tenu par Madame Suzanne Marache décédée en janvier 2000. Son nom restera lié au martinet à jamais, surtout en France. Son atelier à été repris et fabrique toujours des martinets pour des « commerces spécialisés »
Je n’ai pas déniché de chiffre sur l’importance de la vente des martinets de nos jours, sinon qu’il se vend toujours bien, j’en conclus que l’instrument a encore de beaux jours devant lui.



De toute façon, pour le présent, profitons-en !




lundi 13 janvier 2014

Ô TOI !



Un jour, sous l'abat jour, sans contre jour, comme toujours.





Tu l'envies, ton envie, tu survis, c'est la vie.



Sous le joug, tu en joues, il en joue, sur tes joues.




En règle, sous la règle, il te règle, il y a des règles.


Et en fait, ce fut fait, c'est un fait, bien fait !





lundi 6 janvier 2014

COBAYE

Madame et son cobaye (acte 1)

Il y a peu, disons quelques années, j’étais inscrit sur O.J. Un site où on parlait entre gens du même fantasme de fessée et tout ce qui tournait autour, je conversais derrière mon écran avec un certain nombre de personnes. Parfois opposés, parfois d’accords et souvent complices de délires écrits et dessinés.
Hélas cet excellent site un jour a fermé ses portes nous laissant pour un moment toutes et tous orphelins. Peu avant l’extinction des feux, une dame m’avait fait part de son désir de passer de l’autre côté du manche et me demandait gentiment si j’acceptais d’être son cobaye.
Idée peu banale, mais j’ai toujours été attiré par ce qui sortait de l’ordinaire et cette éventualité me séduisait. Un rôle pour moi, j’étais comme un acteur à qui on offre une place dans les studios d’Hollywood. J’acceptais avec enthousiasme d’être un temps d’apprentissage le sujet de cette dame.

Je n’avais aucune crainte car la formation de la femme était chapeautée par un homme de grande expérience et donc, roulant sur les routes me menant au bout de la France, j’étais serein.

C’est toujours un grand moment de découvrir des personnes dont on ne sait rien de plus que leurs pseudos et leurs écritures. Je ne fus pas surpris de leur physique, ils n’étaient pas vraiment différents de ce que j’imaginais. Reste que c’est un moment magique d’écouter pour la première fois les timbres de voix, d’embrasser ou de serrer la main d’êtres qui n’étaient jusqu’à ce moment que numériques.
Un accueil chaleureux et une prise en main rapide, la dame était avide d’ouvrir une nouvelle porte et moi de me mettre à son service.
J’ai toujours été exigeant sur la crédibilité de mes partenaires, mais cette fois, je me devais d’être avant tout un bon sujet parce que ce n’était pas un jeu scolaire, ni dit de discipline domestique, ni de rapports engendrant l’infantilisation. Je devais oublier mes habitudes et être un nouveau Mike.
La bonne surprise, c’est que si je ne doutais pas de l’autorité de l’homme, la dame avait également les dispositions pour prendre l’ascendant sur moi quand cela était nécessaire et de me driver, est une condition incontournable.
Il y avait un bon moment que je n’avais pas senti l’impact d’une main de femme sur mes fesses et croyez que j’étais aux anges. Je découvrais avec délice qu’être un cobaye procurait un plaisir particulier. C’était bien différent de ce que j’avais joué jusqu’à présent.
La dame prenait toujours un prétexte pour me punir, ce qui est essentiel. Je sentais dans son regard l’envie de dominer et de sanctionner ; c’était non seulement excitant mais également le terreau fertile d’une belle plante fesseuse qui allait vite pousser.

Déroutant d’être un cobaye, mais à la fois enivrant que d’être courbé en travers de ses cuisses déculotté par ses soins et recevant une bonne série de claques. Le maître d’apprentissage n’était pas avare de recommandations, il veillait a ce qu’elle me maintienne fermement pour que je ne puisse esquiver ou m’échapper. Si la main féminine ne se plaquait pas sur mon épiderme dans les règles de l’art ou qu’elle ne claquait pas de manière satisfaisante, je changeais de genoux pour une démonstration avant de retrouver le confort féminin pour une application de la leçon. Je me sentais comme un jouet, mais un jouet utile, un jouet qu’on ne casse pas, un jouet qu’on ne jette pas après utilisation. Un vrai beau jouet qu’on respectait et j’en étais fier.
Hooo les fessées de la dame, mes gesticulations les dents serrées puis petit à petit soupirant de timide « AÏE ! » avant de chanter plus distinctement, signe que la punition était bien dosée. Quand mon fessier était bien chaud et rouge, le maître d’apprentissage affichait un sourire approbateur à son élève en lui accordant souvent de m’administrer un petit supplément. Hou les suppléments que la dame se faisait un plaisir d’appliquer avec vigueur.




Une fois la leçon assimilée, les projecteurs s’éteignaient, la sérénité s’imposait. La main qui m’avait rossé se faisait tendre et beurrée de crème caressait mon flamboyant postérieur. Tendre attention qui me comblait ajoutant aux sensations l’agrément d’être pardonné.

En dehors de l’apprentissage, ensemble nous passions d’agréables moments de palabres et de fou rire autour d’un repas, d’un apéro et d’ensoleillées promenades dans la montagne.
Mais attention, une sanction pouvait tomber à n’importe quel moment, Le maître et la dame en décidaient et parfois dans un lieu insolite comme le parking d’un restaurant où je fus à demi courbé sur l’automobile et je reçu une dizaine de bonnes claques sur les fesses. Certes il faisait nuit, mais l’endroit était suffisamment éclairée pour que les passants nocturnes puissent discerner en partie la scène.
Dans ce rôle de cobaye, je retrouvais des divins moments de mes jeux préférés. La fessée tombait pour un lit pas fait, des tartines chipées ou des chaussures mal rangées. La dame et le maître m’offraient du bonheur et j’espère qu’en retour, j’ai donné l’équivalent.
Les fessées manuelles, grand classique et l’indémodable de la fessée furent rapidement maîtrisées par la brillante élève. La délicate utilisation des instruments était en étude secondaire. Le maître d’apprentissage disposait de toute la panoplie : Martinets, ceintures, verges, cannes, badines et bien d’autres encore…

Cela fera l’objet d’un second acte.

mercredi 1 janvier 2014

DECULOTTAGE

Déculottage
Premier post de l’année 2014, j’ai donc choisi un chaud sujet en espérant que cette page vous plaira.

Le déculottage est une action bien banale diront certains. Certes nous le faisons quotidiennement : Pour prendre la douche ou un bain, pour se changer, aller au lit, quelques fois chez le docteur et aussi pour s’asseoir sur le trône des toilettes. D’ailleurs pour ce dernier exemple, c’est vivement recommandé.

Le déculottage peut être délibérément provocant en sport devant une équipe adverse, le faire aussi, comme disait l’artiste, pour montrer son cul et nos bonnes manières, voir devant la maréchaussée ce qui est beaucoup plus risqué et que je ne conseille pas au risque de se retrouver au ballon avec à la clef une forte amende pour outrage.
Bref le déculottage est une habitude chez les êtres humains, somme toute, un geste anodin.

Mais le déculottage est également un préliminaire à la fessée entre adultes et dans ce cas, l’acte n’entre plus dans la liste habituelle des tâches quotidiennes ou du moins n’est pas sans effet psychologique et corporel.



 Une fessée consentie reste une fessée et qu’elle soit érotique ou punitive, elle est le vecteur d’un grand nombre d’émotions aussi variées qu’il y à d’adeptes. 
Je considère que la fessée n’est pas simplement maintenir une personne et lui flanquer bêtement des claques sur les fesses. Il est dans la fessée des avants, des pendants et des après que chacune et chacun notifient selon ses préférences. Parmi les ultimes préliminaires, il y a le déculottage et cette étape engendre bien des troubles.
On peut comparer poétiquement le déculottage à l’effeuillage, gastronomiquement à l’épluchage, sauvagement au déchirage, mais quelque soit la méthode, la finalité et bien de mettre à nues les zones intimes d’une personne. Aussi bien pour la fesseuse, le fesseur, la fessée, le fessé et éventuellement les témoins, cette étape est poivrée de frissonnements, de chaleur, de contemplation, d’humiliation, d’excitation voir pour certaines et certains d’une forme de régression et d’infantilisation.

Le déculottage est multiple. Il peut être ordonné à la ou le fessé de se déculotter lui ou elle-même.



La ou le fesseur peut prétendre à ce que ce soit lui et personne d’autre qui déculotte la ou le puni.

Il est des mises cul nu qui se font après avoir déjà administré une ou deux fessées. J’appelle cela le déculottage progressif et j’avoue que cette façon de faire ne me laisse pas indifférent. La fessée d’abord sur le pantalon, la jupe ou le short, la seconde sur la petite culotte ou le slip et la dernière, une fois que les fesses ont suffisamment été apprêtées, sur le fessier nu.




Le déculottage peut être exercé en public ce qui augmente encore les perceptions humiliantes. Ceci bien entendu ne se réalise qu’avec un public initié à moins que les protagonistes aiment se produire autrement.



En tout cas, pour l’avoir vécu, le déculottage devant un public vous flanque une tornade d’émotions qui vont de l’affolement au désarroi en passant par la décomposition. Pourtant, cette déstabilisation due à une vexante exposition publique procure assez rapidement une puissante excitation qui vous secoue tout le corps sans plus avoir réellement de contrôle sur rien.

Le déculottage peut aussi être l’ultime étape d’une mise à nue complète avant punition. Une dernière étoffe, unique et fragile protégeant les rondeurs postérieures et les parties génitales. Un petit bout de tissu qui peut être lentement glissé pour enfiévrer davantage la ou le fessé.



Le déculottage impose aussi un sentiment de vulnérabilité et de non retour.

Pour moi, le déculottage est une étape incontournable de la fessée et plus cette action est bien menée, plus ce qui suit en sera exquis.

Je n’ai parlé que du déculottage post fessée, il existe également des déculottages pour des pénitences et autres jeux, ce sera peut-être l’occasion d’un autre post.