Bonjour ou bonsoir.



MON PETIT PLACARD SECRET
. Depuis un bon moment j'avais envie de montrer mes petits dessins et montages imaginés depuis les plus profondes cases excitées et hallucinées de mon esprit. Fantasme avec ou sans "S", selon comme ça vient me titiller... La fessée et quelques de ses multiples satellites en sont les thèmes principaux.

J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !

Petits trucs



A droite j'ai placé une
TABLE DES
MATIÈRES, elle vous permet de choisir des thèmes à visiter selon vos préférences.


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lundi 18 mai 2015

CLASSE TOUS RISQUES




Je l’avais rêvé dans mes songes les plus ardents et si chuchoté aux oreilles de papier de quelques annonces discrètes, jamais l’embryon d’une réponse me prévenait d’une possible réalisation. Mais de quoi s’agit-il ? De l’excitant fantasme d’être l’unique élève masculin d’une classe de fille !

Un jour d’automne, un homme en blanc nous ouvrait ses portes, point de stéthoscope autour du cou préférant à l’instrument ses mains qu’il collait vigoureusement, quand l’occasion était, sur les rondeurs charnues du beau sexe. Avant toutes rougeurs, fussent-elles consentantes, nous fument invités cordialement à nous désaltérer et contenter nos papilles de bonnes choses.

Complice avec l’Ours et l’homme en blanc, Mira, institutrice pour un soir, me propulsait dans le couloir aux porte-manteaux. L’élève devait présenter comme tel et donc la culotte courte me fut de rigueur.



Classe improvisée dans un espace inapproprié, détail insignifiant, le décor devient comme on l’habille, la réalité n’est qu’aux sons au touché et aux parfums. L’image est filtrée par des pupilles sous tension qui projettent ce qu’il faut voir et non ce qui est. Les trois belles élèves à mes yeux friponnes de jupes plissées. C’est une magie qui pétille par petites touches nous redonnant l’âge d’être à l’école. Nous étions chahutant les ultimes minutes de récréation. Voisin d’une belle, mes mains osant l’ourlet d’une jupe pour à peine soulever le tissu, tenter un œil voyeur sur la finesse d’une petite culotte cachée et elle, sa main sur ma joue avant que ma rétine fut enjouée.

Dictée farcie de mots bousculés, de verbes inusités, de phrases minées, entre deux bombecs j’espérais de l’indulgence. Cancre nommé, réprimandé, tiré, basculé, déculotté, puis fessé devant trois paires d’yeux maquillés. Comment ne pas être aussi rouge du fessier que des joues ; l’institutrice avait beau jeu, mais n’avais-je pas le meilleur ? Ne pensez pas que les belles échappaient à la sanction car peut-être moins cancres, elles restaient néanmoins au-dessous de l’excellence exigée. Cependant elles étaient fessées à l’autre face d’une porte privant de spectacle tout regard avide. Dans un jeu, il y a des requêtes convenues à respecter.
Pour moi, maintenu consentant en public, une fièvre tourbillonnante me soumettait aux déséquilibres ; elle butinait sans arrêt de l’impact brûlant au regard qui n’ose autre chose que le sol s’abreuvant d’une perle de sueur affolée cherchant refuge afin de s’exiler d’une honte. Inversement au passé de craie et tableau noir, je goûtais aujourd’hui au bonheur d’être scolairement châtié et bien plus encore, aux yeux du sexe opposé. La douleur évidement monarque d’une punition, il serait tellement préjudiciable qu’elle soit destituée, décapitée, car absente elle abolirait toute effervescence.
Reculotté, presque digne, retournant à ma place, je dégustais les rires murmurés des belles comme la dernière goutte fondue d’une glace au fond du cornet.

Plus tard, après avoir été martyrisé au martinet, ce fut Colin-maillard, un jeu d’aveugle et moi désigné d’office comme celui-là. Mes yeux bandés au piquet le nez au mur et soudain par les sournoises mains de l’institutrice, short et slip aux chevilles. Elle jubilait me soufflant à l’oreille le plaisir d’avoir édicté une nouvelle règle. A chacune des présentes de me frapper les fesses, à moi de reconnaitre la propriété de la main. Il est étrange comme la perception devient altéré et que les claques répétées aggravent le phénomène d’autant que l’homme en blanc trichait, intercalant ses grosses mains entre les fines féminines.



 Ce qui n’avait rien d’étrange, C’est que cette pluie de soufflets augmente ma pression sanguine. Constatant, l’institutrice par les deux épaules me fit pivoter face aux belles. Un moment ou le noir du bandeau n’est plus pourtant je n’y voyais pas davantage, mais je n’avais nul besoin de ce sens, tout était sur l’écran de mes paupières fermées à double tour. Sans doute mes jambes me portaient encore par habitude. Mes bras s’allongeaient pour que mes mains paniquées puissent saisir et remonter la ceinture de mon short à la bonne hauteur. Si j’en avais suffoqué d’être ainsi brièvement exposé côté face, Pour ce qui est des belles, point d’évanouissement et elles n’en n’avaient pas perdu la vue… Comme quoi parfois on se fait des idées.


Il était temps de me remettre de mes délicieuses émotions. Les verres étaient pleins, quittant nos costumes de scène, nous avons donc tous trinqué à cette belle soirée.

jeudi 7 mai 2015

BELLES, BELLES, BELLES !




Pourquoi me poserais-je des questions ?
Alors que l’irrésistible est incontrôlable.
 Et faut-il hésiter à la tentation,
Pour ne point se sentir coupable ?



De se laisser envoûter volontaire.
De délecter tous mes sens.
Sans détour me satisfaire.
D’une belle en repentance.



Deux lunes à peine couvertes
Je ne me lasse pas du trait,
De rondeurs si bien offertes.
Par moitié tracées d’une raie.



En être aveugle serait supplice.
Oui j’aime les dames fessées !
Certes voyeur, mais complice.
Je me régale de vos fessiers.



Il n’y a point d’autre beauté.
Que vos douceurs cambrées.
D’un geste fripon, dénudées.
De gestes plus prompts, fessées.