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MON PETIT PLACARD SECRET
. Depuis un bon moment j'avais envie de montrer mes petits dessins et montages imaginés depuis les plus profondes cases excitées et hallucinées de mon esprit. Fantasme avec ou sans "S", selon comme ça vient me titiller... La fessée et quelques de ses multiples satellites en sont les thèmes principaux.

J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !

Petits trucs



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mercredi 1 janvier 2014

DECULOTTAGE

Déculottage
Premier post de l’année 2014, j’ai donc choisi un chaud sujet en espérant que cette page vous plaira.

Le déculottage est une action bien banale diront certains. Certes nous le faisons quotidiennement : Pour prendre la douche ou un bain, pour se changer, aller au lit, quelques fois chez le docteur et aussi pour s’asseoir sur le trône des toilettes. D’ailleurs pour ce dernier exemple, c’est vivement recommandé.

Le déculottage peut être délibérément provocant en sport devant une équipe adverse, le faire aussi, comme disait l’artiste, pour montrer son cul et nos bonnes manières, voir devant la maréchaussée ce qui est beaucoup plus risqué et que je ne conseille pas au risque de se retrouver au ballon avec à la clef une forte amende pour outrage.
Bref le déculottage est une habitude chez les êtres humains, somme toute, un geste anodin.

Mais le déculottage est également un préliminaire à la fessée entre adultes et dans ce cas, l’acte n’entre plus dans la liste habituelle des tâches quotidiennes ou du moins n’est pas sans effet psychologique et corporel.



 Une fessée consentie reste une fessée et qu’elle soit érotique ou punitive, elle est le vecteur d’un grand nombre d’émotions aussi variées qu’il y à d’adeptes. 
Je considère que la fessée n’est pas simplement maintenir une personne et lui flanquer bêtement des claques sur les fesses. Il est dans la fessée des avants, des pendants et des après que chacune et chacun notifient selon ses préférences. Parmi les ultimes préliminaires, il y a le déculottage et cette étape engendre bien des troubles.
On peut comparer poétiquement le déculottage à l’effeuillage, gastronomiquement à l’épluchage, sauvagement au déchirage, mais quelque soit la méthode, la finalité et bien de mettre à nues les zones intimes d’une personne. Aussi bien pour la fesseuse, le fesseur, la fessée, le fessé et éventuellement les témoins, cette étape est poivrée de frissonnements, de chaleur, de contemplation, d’humiliation, d’excitation voir pour certaines et certains d’une forme de régression et d’infantilisation.

Le déculottage est multiple. Il peut être ordonné à la ou le fessé de se déculotter lui ou elle-même.



La ou le fesseur peut prétendre à ce que ce soit lui et personne d’autre qui déculotte la ou le puni.

Il est des mises cul nu qui se font après avoir déjà administré une ou deux fessées. J’appelle cela le déculottage progressif et j’avoue que cette façon de faire ne me laisse pas indifférent. La fessée d’abord sur le pantalon, la jupe ou le short, la seconde sur la petite culotte ou le slip et la dernière, une fois que les fesses ont suffisamment été apprêtées, sur le fessier nu.




Le déculottage peut être exercé en public ce qui augmente encore les perceptions humiliantes. Ceci bien entendu ne se réalise qu’avec un public initié à moins que les protagonistes aiment se produire autrement.



En tout cas, pour l’avoir vécu, le déculottage devant un public vous flanque une tornade d’émotions qui vont de l’affolement au désarroi en passant par la décomposition. Pourtant, cette déstabilisation due à une vexante exposition publique procure assez rapidement une puissante excitation qui vous secoue tout le corps sans plus avoir réellement de contrôle sur rien.

Le déculottage peut aussi être l’ultime étape d’une mise à nue complète avant punition. Une dernière étoffe, unique et fragile protégeant les rondeurs postérieures et les parties génitales. Un petit bout de tissu qui peut être lentement glissé pour enfiévrer davantage la ou le fessé.



Le déculottage impose aussi un sentiment de vulnérabilité et de non retour.

Pour moi, le déculottage est une étape incontournable de la fessée et plus cette action est bien menée, plus ce qui suit en sera exquis.

Je n’ai parlé que du déculottage post fessée, il existe également des déculottages pour des pénitences et autres jeux, ce sera peut-être l’occasion d’un autre post.


15 commentaires:

  1. Vous avez dit *Déculottage* tout commence dans beaucoup de situations, pas ce petit morceau de tissus, qui soit simple, en coton, dentelle, peu coûteux ou très onéreux, il sublime ou cache juste ce petit coin de notre corps, il faut bien à un moment ou un autre en faire quelque chose de cette culotte!

    Hop je ne fais pas ma timide pour 2014, de plus je ne le suis jamais quand il faut la retirer, sauf que des fois ...

    N'ayant aucun pudeur, je peux retirer ma culotte n'importe où et devant n'importe qui, cela ne fait n'y chaud, n'y froid je pourrai dire et si j'en porte pas et que je dois me mettre nue devant un médecin par exemple, il fera avec ! Je n'ai jamais eu besoin ce cet artifice pour ressentir quelque chose comme vous l'expliquez Mike, je ne pense pas être la seule non plus dans ce cas.

    Par contre,dans le cadre de ma relation, il est vrai que le moment où je dois retirer ma culotte, me fait toujours un pincement au cœur, ne sachant pas très bien si mon partenaire va me la retirer ou s'il va me demander de le faire, je préfère ne pas en porter dans ses moments, au moins je n'ai pas à réfléchir à ce que je dois faire et surtout comment le faire. Il est vrai que je n'aime pas non plus garder ma culotte pour recevoir la fessée.

    Pour 2014, j'adopte l'option d'attendre les ordres.

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    1. Mais oui Papillon Doré, chacune et chacun a des sensations qui sont parfois très différentes concernant le déculottage.

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  2. Très bel exposé, Mike... j'ai dû faire un sujet là-dessus il y a un bon moment, mais tu es bien plus exhaustif !...
    Mes compliments !...

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    1. Merci Waldo.
      L'inspiration du moment qui fait le post, mais qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse.

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  3. Un très bel article pour commencer l'année.
    Et puis le déculottage ... c'est juste tellement troublant comme instant...
    Merci pour ce bel article et bonne année à toi :)

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  4. Le déculottage... J'aime tellement. Ça doit être pour ça que j'adore les culottes.
    Même avec un partenaire régulier il y a des jours ou je ne peux pas m'en empêcher, ma main file accrocher le tissus, le temps de reprendre mon souffle et de geindre un peu...
    Enfant et adolescente, je me suis tellement régulièrement imaginée en train de prendre une fessée. En rêverie je n'arrivais pas à ressentir les claques par contre ce frisson qui vous hérisse les fesses au moment ou la culotte descend, oui ! C'était complètement fou, j'en avait le ventre serrée et les oreilles rouges...

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    1. Et ensuite les cuisses serrées et les fesses rouge. Un vrai caméléon Ellie.

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  5. Bonsoir à Vous tous !

    D'abord, meilleurs voeux et bonne année 2014 avec son lot coutumier de bonnes résolutions ( à tenir ! Pas sûr ! Pas sûr !).
    Ensuite, je m'incline humblement devant la science d'un maître-ès- fessée ( ou bien : Maître-sse-fessée !!! Ha Ha Ha Ha ! Je ris !). Belle analyse. 09/10 . Félicitations du Jury.
    Le déculottage est à la fessée , ce que la bonification est aux bons crus. Il faut que ça "mijote" . Quant le potage déborde, il est à point. Curieuse cuisine. Peter Pan.

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  6. J'aime beaucoup le dernier dessin et ce qu'il exprime de laisser-aller et de frémissement :)

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  7. J'aime aussi beaucoup le dernier dessin... madame aime bien me baisser la culotte en se mettant bien en position pour regarder mon "devant". Remarque sur ma perversité assurée en cas de turgescence...

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  8. Jamais je ne peux me déculoter sans avoir une érection qui se maintiendra même sous les coups les plus durs....je crois que je suis maso !

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