Bonjour ou bonsoir.



MON PETIT PLACARD SECRET
. Depuis un bon moment j'avais envie de montrer mes petits dessins et montages imaginés depuis les plus profondes cases excitées et hallucinées de mon esprit. Fantasme avec ou sans "S", selon comme ça vient me titiller... La fessée et quelques de ses multiples satellites en sont les thèmes principaux.

J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !

Petits trucs



A droite j'ai placé une
TABLE DES
MATIÈRES, elle vous permet de choisir des thèmes à visiter selon vos préférences.


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mercredi 31 août 2016

D'ART, MAIS SURTOUT D'ESSAIS



Comme j’en discutais un jour, autour d’un verre et d’une belle avec l’ami Waldo ; en matière de dessins et photos sur la fessée, tout a été fait et pour être un brin original, il faut franchement se creuser les méninges. Le terrassement, ce n’est pas mon truc et si je me touche le crâne, c’est juste pour le gratouiller. D’ailleurs, question gratouille, je préfère me gratter les burnes, c’est plus agréable… Non je n’ai pas de morpion !



Je ne sais pas pourquoi, sans doute parce que parfois nous avons des idées à la con, je me suis dit « tiens, pour une fois sur mon blog, si je tentais un dessin pas comme d’habitude. » Autant vous dire qu’il faut que je sois vraiment dans un état second pour gamberger de la sorte et encore bien plus, pour m’y atteler. Dans ma tête, je pousse un peu le bordel afin d’y faire un peu de place pour un plan vierge. Me voilà donc à projeter sur l’immaculé, un diaporama de scènes de fessées aux angles incertains. En même temps, comme ça vient, je crayonne vite fait quelques trucs sur mes feuilles et, dans ce méli-mélo de traits, je tire un semblant de projet…



J’hésite encore à le choisir, mais comme les autres étaient plus compliqués, mes tergiversations ne dureront pas plus, qu’inversement, ma fainéantise est éternelle. Je m’embauche donc, à user de la mine sur le grain, malgré mes protestations, invoquant la semaine des 35 heures, les repos compensatoires et mon refus d’heures supplémentaires, depuis peu, ratiboisées à 10 %.



À chaque coup de mine et coup de gomme, je me chuchote « Mais pourquoi t’es-tu lancé dans cette galère, franchement tu te prends pour Dali ? » Justement non, alors pourquoi je poursuis mon crobard ? Mais c’est que j’ai du respect envers mon public moi ! Quand même, plus de 536 000 visites de gens de partout où je n’y suis pas, ce n’est pas rien ! Toutes ces visiteuses et tous ces visiteurs, ils ne cliquent pas sur mon blog pour voir du Dali, mais du Mike. Et oui, simplement du Mike, et d’habitude, le Mike, il évite de trop se casser la nénette… Ce n’est pas tout à fait vrai, mais quand même un peu. Faute avouée, faute entièrement pardonnée, à moins qu’une dame estime que je mérite, dans ce cas…

Ce n’est pas si simple, surtout les proportions, et cette fois, je n’ai pris aucun modèle. À la quatrième tentative, je tente un godet de whisky… Ça fait une plombe que je gribouille, j’ai bien le droit d’une récréation ! N’empêche que la pause est salutaire d’ombre naturelle. La cinquième esquisse est à mon goût, autant que le whisky (mais non pas cinq pour le breuvage, du moins pour le moment).



Hop, une feuille de calque et je copie mon dessin en modifiant un peu, puis je scanne. À l’écran, j’ai une autre vision et elle me souffle, que ce n’est pas terrible. À ce moment-là, je suis comme un cycliste amateur au pied d’un col pas porteur. C’est, soit je jette le vélo dans le fossé et je rentre chez moi regarder une série américanoséabonde, soit je reste en selle et j’appuie sur les pédales. Un second verre de whisky me conseille de grimper. J’ai la main droite dans le piège à souris…



C’est le jeu des mille erreurs. Je bricole, je rafistole, j’opère les personnages sans anesthésie, je soupire… Ça fait deux heures que je suis le cul devant mes feuilles, mon calque et mon ordinateur.



Bordel, les godasses, c’est toujours un problème ! J’ai un truc, je pose sur ma table des vraies chaussures, que je positionne à peu près comme sur le dessin et je m’en sers comme modèle. J’évite les pompes avec lesquelles je viens de marcher, leurs vapeurs ne se marient pas avec le parfum du whisky.



Dans un dessin, il faut avant tout contenter l’œil, je fignole… Voilà, ce n’est pas loin de ce que je voulais. Reste à mettre en couleur et peindre un fond.






Pfou, je libère la souris et je sais déjà, que demain, je trouverai un million de défauts à ce dessin.

11 commentaires:

  1. Bonjour Mike,

    Tu retrouves les bancs de l'école ? Rires.
    Ah oui, c'est toujours un problème ces perspectives et ses proportions.
    Donner la bonne position sans écraser les personnages. Dur, dur !
    Le dessin final m'a fait penser au rock acrobatique. Une fessée à chaque saut pour la miss. Excellente manière pour rendre des cours de danse. Il y aurait surement plus d'amateurs...
    Tu sembles être plus à l'aise que moi en infographie (?).
    J'apprécie toujours la netteté et la simplicité de tes saynètes. Excellent.
    Peter Pan

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  2. Merci pour cette leçon d'arts ! Pour le jour de la rentrée , tu fais fort. L'apport du whisky est essentiel, j'imagine?

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  3. Bonsoir à vous deux,

    Comme tous les grands esprits, maitre Mike a besoin d'une source d'inspiration au sens propre et figuré.
    A l'instar de ce crooner-rocker d'Eddy Mitchell : "j'ai pris une dose de whisky / Afin de préparer mon sermon /Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit/ Je me posais trop de questions..."
    Mais, Chuut ! Je m'esquive sur la pointe des pieds pour ne pas déranger.
    Peter Pan

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  4. Bon sang je n'avais pas vu ce travail ! Mike tu te mes de sacrés challenges ! Superbe !... Je remarque que tu as eu la ptite culotte du premier coup ! :D

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    1. Oui, je n'ai pas eut besoin d'en prendre une en photo. En plus, je ne t'avais pas à mes côté, comment veux-tu que j'ai une petite culotte. Franchement, mon slip kangourou, ça ne l'aurait pas fait.

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